mercredi, 16 mars 2016
Sandrine Cabadi - Qui êtes vous ?
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L'actualité de la chanson française de la semaine du 4 au 10 mars
Le clip de la semaine : Séverin, France-Brasil
Les vidéos de la semaine : Makja, Sandrine Cabadi, Philémon Cimon, Séverin et les artistes du festival des Chants de Mars à Lyon
A la une
Télérama, Valérie Lehoux - Arman Méliès, Vertigone
Encore un. Un qui façonne dans l'ombre médiatique une chanson distinguée, labyrinthique parfois mais plus souvent enivrante, inquiète toujours et pourtant pas sombre. Un qui cherche, qui avance, au risque de s'égarer un peu (les sons très synthétiques de son dernier album désincarnaient son chant), et qui réapparaît aujourd'hui avec un cinquième disque incandescent, aussi riche que concis. Plus direct et plus droit que les précédents. Moins sophistiqué. Presque abrupt. Disque sauvage, cinglant, à la tonalité rock, aux tentations psyché, aux mélodies-mélopées d'une redoutable envergure, aux tempos martelés comme des certitudes ou des désirs impossibles à enterrer.
C'est déjà ça - Méliès : voyage sur le volcan
Après quatre albums assez radicaux, Arman Méliès éblouit toujours mais y ajoute l'émotion dans "Vertigone". En concert ce soir à Bordeaux, demain à Cognac.
Arman pour le peintre plasticien, Méliès pour le cinéaste. Le premier accumulait les produits manufacturés pour mieux illustrer le productivisme. Le second a inventé le rêve et l’audace au cinéma. L’auteur-compositeur Arman Méliès chante entre ces deux pôles, avec la précision d’un musicien chevronné, avec l’onirisme d’une plume imagée.
Le Figaro - Arman Méliès, vers les hauteurs
Vertigone, son cinquième album, est sans conteste le meilleur disque de la jeune carrière d'Arman Méliès. Cet ancien membre du groupe Enola s'est lancé en solo il y a un peu plus de dix ans et a su affirmer progressivement une identité forte, tout comme une exigence jamais prise en défaut.
BALTHAZE
Hexagone - Balthaze, un visible animal
Balthaze sera sur la scène du Zèbre de Belleville le 24 mars pour le concert de sortie de son premier album. C’est un artiste que je connais maintenant depuis quelques mois. Dès que j’ai découvert quelques uns de ses morceaux, son projet m’a tout de suite parlé. Depuis, je l’ai revu sur scène régulièrement, dans des formules différentes et avec de nombreux instruments. En solo, en trio, avec pleins de copains sur scène, invité par d’autres artistes, à la guitare, au banjo, au mandole… Et à chaque fois, il fait mouche. Avec des textes forts et des sonorités remplies de multiples influences, son répertoire est très riche. Il y a quelque chose qui me touche tout spécialement dans ce qu’il fait. Je ne saurais dire si c’est son approche de la musique, la façon dont il nous emmène voyager avec, la sincérité de l’interprétation, l’importance du contenu ou l’authenticité de l’artiste. Certainement l’association de tout ça à la fois. Alors forcément, j’ai eu envie de lui poser quelques questions.
BAPTISTE W.HAMON
Un signe qui ne trompe pas à l'écoute du tout premier morceau : après l'intro, au joli trot country des guitares, au bourdon du violon, on s'attend à ce que sonne une voix ad hoc, américaine. Et puis non, voici le candide et crâne Baptiste : « Moi j'aime une fille, son nom c'est Joséphine. » Le Grand Meaulnes est à Nashville et il apprend vite.
SANDRINE CABADI
Claude Fèvre - Sandrine Cabadi, un album qui fait boum
Avec Sandrine Cabadi, on a bien l’impression qu’il se passe quelque chose dans le monde du disque depuis qu’elle l’a fait entendre. On lit ici et là des chroniques enthousiastes et voilà qu’Hélène Hazera l’invite sur France Culture. C’est dire !
C’est en scène que depuis des années elle s’accroche coûte que coûte à son rêve. De petite scène en petite scène, elle y va de sa goualante derrière son clavier, jamais sans sa casquette, version p’tit gars à qui on ne l’a fait pas, avec sa voix de chanteuse des années 30, des « R » qui roulent jusqu’à vos pieds et leur donnent envie de danser la java !
Nos Enchanteurs - C’est dit, c’est Cabadi !
Car ce nouvel opus, totale rupture qui signe l’arrivée d’une chanteuse sur laquelle il faudra désormais compter, est sincèrement un pavé, pas comme ceux qu’on s’envoyait à la figure jadis au quartier latin, mais comme un disque qui déjà nous marque, nous touche pile dans le mille. Sincère, enjouée, d’une voix assurée, qui parfois fait songer à Juliette la diva, notre trentenaire Cabadi (c’est l’âge qu’elle se donne en se plaignant du Complexe de la trentenaire) fait bonne impression par une galette où tout est bon : les musiciens, l’orchestration, les arrangements, l’interprétation (on se dit que Cabadi est capable de tout chanter, de la douceur à la furie, de la mélancolie à l’humour…), les textes… Tout !
SEVERIN
On avait suivi de loin ses débuts discrets dans la chanson, l’oreille distraite par le "trop" d’électro pop qui prenait le pas sur une écriture hésitant encore à se frotter au français. Trois disques plus tard, Séverin a pris ses marques. Résultat : beaucoup de ballades, un peu de samba, et un très abouti Ça ira tu verras.
Culturebox - Séverin : un clip génial et un bel album aux saveurs brésiliennes
Séverin lance son deuxième album solo de la plus belle des manières : avec un clip très réussi qui met en scène le dialogue joyeusement difficile d’un couple franco brésilien, à l’aide de l'outil Google de traduction automatique.
BERNARD JOYET
Qui l’ignore encore ? Bernard Joyet est l’une de nos plus fines plumes de la chanson. S’il s’y est mis un brin « tardivement » courant 1985 en duo rigolard avec le batteur Roland Salomon (Joyet et Roll Mops), les choses « sérieuses » ont commencé en solo avec le nouveau millénaire. L’an dernier est sorti son quatrième album, AUTODIDACTE II, un cru haut de grappe à apprécier d’abord en scène (notamment le 14 mars au Vingtième Théâtre*, à Paris) en compagnie de la pianiste Nathalie Miravette.GAINSBOURG
Double Note, Victor Hache - Serge Gainsbourg, 25 ans après, toujours à la page
MAJKA
Makja, est une de mes belles découvertes aux Rencontres d’Astaffort de mai 2015. Il m’avait touché par l’intensité de son interprétation. Basé en Aquitaine, on le voit malheureusement trop peu en région parisienne, mais depuis j’ai gardé un œil attentif sur l’évolution de ses projets. C’est donc avec joie que j’ai appris la sortie d’un EP en mars !
PHILEMON CIMON
Il y a deux ans, une chanson venue du Québec (Moi, j'ai confiance) nous saisissait par sa grâce androgyne. Qui pouvait chanter de cette voix à peine juste mais captivante l'irrépressible envie de croire en l'amour ? Philémon Cimon, trentenaire gracile, auteur à l'époque de deux disques — le premier aux accents cubains ; le deuxième, très pop dépouillée — passés inaperçus ici. Ce nouvel album, au son vintage un peu yéyé, saupoudré d'embruns de surf musique, devrait permettre au jeune homme de se faire remarquer. Ses petites histoires, moins innocentes que ses textes naturalistes et son timbre angélique ne le laissent supposer, ont le don de déclencher de mini-tornades sentimentales.
GIEDRE
L'Obs - GiedRé : "C'est dur d'être une femme, c'est dur d'être un nain..."
A 30 ans, la chanteuse de "Toutes des putes" s'est spécialisée dans la comptine trash pour dénoncer le sexisme. Portrait, en musique.
ans "Belle au bois dormant", GiedRé remixe les contes de fées de notre enfance en y ajoutant une touche sodomite : un homme rencontre dans une forêt une princesse transexuelle qui a un fort accent brésilien et un pénis. Il part en courant : "Elle le rattrapa bien vite/ Et contre un épicéa/ La belle sortie sa bite/ Et l'encula."
Dans une autre chanson, "les Petits enfants", GiedRé raconte l’histoire d’une petite fille et d’un pédophile à l’arrière de son camion ("L’un pleurant, l’autre chantant/ Ainsi va la vie, ainsi font les gens").
ORELSAN
Libé - De Ferré à Orelsan, brève chronologie du sexisme dans la chanson française
L'affaire Orelsan, accusé de faire l'apologie de violences contre les femmes, s'est close jeudi par la relaxe de l'artiste. Pour autant, elle ne doit pas faire oublier que l'histoire de la chanson française, à l'image de la société dont elle se fait souvent le miroir, a été émaillée de paroles sexistes, plus ou moins assumées.
EDDY LA GOOYATSH
Oui, des chansons chez l’Eddy. Pas de celles de circonstance, pas d’éclats de voix, mais l’observation poétique de notre quotidien, de notre environnement, de nos sentiments, de nos émotions. Un peu hors du temps, « au temps du joli temps… », celui « qui feint de n’être que de passage », hors des mouvements… Des chansons comme toujours contemplatives, comme des tableaux : un disque de La Gooyatsh est une cimaise, onze œuvres y sont cette fois accrochées.00:00 Publié dans Revue de presse et du Web | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : arman melies, chanson, chanson francaise, musique, chanson française, balthaze, makja, gainsbourg, cabadi, philemon cimon, baptiste hamon, severin, giedre, orelsan | Facebook | |
lundi, 14 mars 2016
Vesoul par Sandrine Cabadi, en solo
13:00 Publié dans Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cabadi, chanson, chanson francaise, musique, chanson française | Facebook | |
jeudi, 28 février 2013
Sandrine Cabadi, Présentation plus ample
10:12 Publié dans Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cabadi, chanson, chanson francaise, musique, chanson française | Facebook | |
samedi, 12 novembre 2011
Sandrine Cabadi, Le complexe de la trentaine
Lyon, A Thou Bout d'Chant le 15 novembre à 20h30
23:30 Publié dans Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cabadi, chanson, chanson francaise, a thou bout d'chant | Facebook | |