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mardi, 13 février 2018

Nos Enchanteurs - Clio, il pleut des gouttes de bonheur

MJC de Venelles, 3 février 2018, co-plateau Clio-Lise Martin,

Clio Tourneux collectionne toutes les médailles de la chanson depuis 2015, jusqu’au prix Georges-Moustaki en 2017 où elle n’a pu concourir en finale pour cause de maternité.

Elle apparaît timide et douce, semble avoir quinze ans dans son petit t-shirt noir, jean et baskets assortis.  Et oublie de brancher sa guitare acoustique sur son premier succès, celui qui l’identifie clairement, Eric Rohmer est mort. Celui qui vous emporte au bord de la mer, dans les trains et les bistrots à discuter des heures, dans des atmosphères chic et feutrées.

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dimanche, 20 août 2017

Claude Févre - 15ème Festival DécOUVRIR – Rencontres improbables

.... Pour ce qui nous concerne c’est à Clio que l’on accordera le moment de grâce de cette soirée d’autant plus que l’ensemble DécOUVRIR et Emilie Marsh à la guitare électrique, l’accompagnent.  Nous aimons son écriture subtile, légère, gracile. Par petites touches elle dessine des paysages et donne  le sentiment d’instantanés volés à l’usure du temps. On se laisse envoûter. Chaque fois. Aujourd’hui elle dévoile quelques chansons nouvelles. Alors on les attend comme promesses d’émotions, de frissons.  Nous l’entendrons aussi s’amuser de sa discrétion, voire de sa crainte des regards du public. Quand elle s’installe seule  au piano – pour une première fois dans sa jeune carrière! – elle avoue être plus à l’aise de nous tourner le dos ! La chanson qu’elle offre alors a de quoi nous convaincre de son talent, si toutefois nous ne l’étions pas déjà.

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jeudi, 16 février 2017

Prix Georges Moustaki - Clio - Éric Rohmer est mort

mercredi, 15 février 2017

Prix Georges Moustaki 2017 : Clio, Des équilibristes

dimanche, 12 février 2017

Télérama - Clio

Elle semble tout droit sortie d'un film de Rohmer, auquel elle emprunte la fraîcheur et la délicatesse littéraire. Un premier album plein de charme.

Vous ne le saviez pas ? Vincent Delerm et Alex Beaupain ont une fille. Elle ressemble vaguement à sa grand-mère — Barbara — et à deux de ses cousines un peu perdues de vue, Carla et Berry. La petite se prénomme Clio. Vingt-huit ans, un univers d'éternelle étudiante en lettres, un goût prononcé pour les décors parisiens et pour le cinéma d'auteur... comme ses deux papas. Beaupain cite Pialat, Delerm vénère Truffaut ; elle, c'est Eric Rohmer qu'elle salue dans la plus belle chanson de son disque : « Eric Rohmer est mort, et moi, j'en veux encore »...

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Prix Georges Moustaki - Clio, Chamallow's Song

Prix Georges Moustaki - Clio, Plein les doigts

L'album du jour : Clio

Chroniques de Mandor - Clio : interview pour son premier album

Et Clio, tu connais ? Cette question récurrente posée par mes confrères journalistes spécialisés dans la chanson française commençait à m’agacer. A cela, je répondais. « Oui, ce qu’elle fait est plutôt bien troussée ». Réponse un peu vague que l’on peut attribuer à de nombreux artistes. Réponse mensongère, de surcroît. J’aurais dû répondre, vexé comme un pou : « pas du tout, lâchez-moi avec cette Clio que je ne connais ni d’Eve, ni d’Adam », mais ce n’est pas digne d’un journaliste spécialisé dans la chanson française de mon envergure. J’ai ma réputation et une crédibilité professionnelle sans faille à protéger.

Bref, un beau jour (ou peut-être un nuit), je reçois le disque de Clio (non, je n’avais pas eu, entre temps, la curiosité de chercher sur YouTube deux, trois vidéos de la demoiselle, histoire que je me fasse une idée et que je puisse répondre avec honnêteté). Et je l’écoute, donc. Une voix douce et « emportante » (qui nous emporte, quoi !), des chansons empreintes de mélancolie, une écriture subtile, des mélodies discrètement accrocheuses. Je ne sais pas pourquoi j’aime, mais j’aime. Elle sort du lot de la multitude de chanteuse à texte s’accompagnant seule à la guitare. Je lis l’argumentaire qui accompagne le disque de cette diplômée de Lettres Modernes. 

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jeudi, 17 novembre 2016

L'actualité de la chanson française du 4 au 10 novembre

Le clip de la semaine - Mell, Au cinéma

L'album de la semaine : Patricia Kaas

A LA UNE :

Nos Enchanteurs - Et la chanson va ! Et les concours et prix vont…

Il en va ainsi du tremplin Vive la reprise, du Centre de la Chanson, rebaptisé depuis cette année Et la chanson va ! La finale s’est déroulée ce lundi 14 novembre, sous le parrainage cette fois-ci et en présence de Francis Cabrel. Voici le palmarès de la 22e édition :

Prix du Centre de la Chanson : Clio
Prix d’interprétation : Carole Masseport
Prix UNAC de la meilleure chanson originale : Mèche​ pour " Prince-moi "
Coup de cœur du public : Bonbon vodou​
Coup de cœur des professionnels : Bonbon vodou

Télérama - Les tremplins peuvent-ils (encore) booster la carrière d'une chanteuse ?

Cette année, le grand prix du Centre de la chanson a été remis à la jeune artiste Clio. Une récompense qui va lui permettre de trouver des dates de concert plus facilement. Et un peu plus encore…

Sur scène, Clio, accompagnée d’Etienne Champollion aux claviers et Paul Roman à la guitare, chante avec pudeur et sensibilité. Car c’est la force de cette jeune artiste de 29 ans : des textes envoûtants qui racontent la vie avec une pointe de vague à l’âme.

C'est déjà ça - "Et la chanson va!" plutôt bien

Parrainé par Francis Cabrel, le tremplin au soutien des auteurs-compositeurs-interprètes a rendu son verdict 2016 lundi soir. Clio, Carole Masseport, Mèche et Bonbon Vodou sont sortis du lot

CLIO

Nos Enchanteurs - Premier disque de Clio : pas assez cher, mon fils !

..... C’est tout doux, des images, quelques émotions, des idées jetées sur le papier, phrases bien tournées, des personnages esquissés, peints, dépeints, brossés (surtout Simon, qui sent mauvais tant qu’elle hésite à l’embrasser). C’est une chanson d’équilibriste et de mécanicien, qui effleure les sens, dessus dessous, tactile, qui nous touche du bout des doigts, avec ou sans gouache, à fleur de peau ou de pinceau. C’est nature, sans trop de sophistication et, pour tout dire, assez épatant, réjouissant.

CAROLE MASSEPORT

Entrons d’abord doucement dans l’hiver… récit du concert de Carole Masseport

Des rythmes originaux prenant les mouvements du corps au dépourvu (non, non, on ne se balance pas bêtement de droite à gauche en suivant le poum poum ronronnant de la batterie) aux jeux de mots / jeux de liaison / phrases qui s’inventent une nouvelle mécanique… C’est une découverte de bout en bout, et on a parfois même le sentiment de voir s’écrire, là devant nos yeux, un nouveau joli genre. Un genre à elle. Avec tout de même, et ce n’est pas pour nous déplaire, des airs de Barbara dans l’interpellation et la prise à témoin de son public : « voyez et ressentez ce que je porte en moi ! »

MECHE

Nos Enchanteurs - Décalage immédiat !

..... C’est maintenant à Mèche de mettre le feu aux poudres, fièrement harnachée de sa guitare électrique blanche, en petite robe sage et couettes idoines, pour une version candidement perverse d’Ophélie est zoophile de Jad Wio. Poussant le jeu du décalage jusqu’à l’absurde abscon, elle fait de ce texte déjà bien barré à la base une délicieuse comptine troublante au-delà de la déraison, en un jeu de séduction sulfureux et languide… Nul doute n’est permis, cette fille fonctionne à piles

BONBON VODOU

Bonbon Vodou - " Fruit de voyages autour du monde, de sons glanés ça et là, de pistes parcourues et de sentiers dévalés, "African discount" a la couleur de l'escapade. Afrique de l'ouest ou Océan Indien, on retrouve le son du dombolo, du soukouss et du séga car leur rythmes s'en prennent directement à nos bassins. JereM et sa voix haut perchée, Oriane Lacaille et ses choeurs cristallins déroulent tout en nuances de bien jolies histoires [...] et proposent un billet pour aller se rafraichir au soleil ."     Julian Babou  -  FRANCOFANS  - mars 2016

LOU CASA

Nos Enchanteurs - Barbara par Lou Casa : l’exemplaire reprise

Le regret c’est que, soyez en sûr, on ne consacrera pas autant d’énergie pour saluer comme il se doit, comme il se devrait d’être, le travail de Lou Casa. Lou Casa ? Un groupe à géométrie variable, pour l’heure un trio masculin composé de Julien Aellion (basse), Fred Casa (piano, orgue, percussions, chœurs) et Marc Casa (chant et direction). De leur travail scénique sur Barbara ne nous parvient que cet EP, comprenant trois chansons de la longue dame brune (Perlimpinpin, Le bel âge et J’entends sonner les clairons), une de Brel que Barbara chanta (Sur la place) et deux autres dont Barbara signa (Tous les passants, paroles de Françoise Lo) ou co-signa la musique (La belle amour, paroles de Georges Bérard, musique que Charles Algarra et Barbara). C’est peu et terriblement frustrant. Mais suffisant pour se jurer mordicus d’aller voir Lou Casa en scène, toute affaire cessante.

JEANNE ROCHETTE

Chanson Boum - Jeanne Rochette

Elle chante depuis toujours et a pris des cours de jazz et de lyrique -et de comédie-.
Elle est restée quatorze ans au Québec où elle s'est mise à écrire pour elle, dans un groupe de Jazz.
Son premier album a été écrit là-bas.

Jeanne Rochette est inclassable, sa voix est disciplinée mais part dans toutes les influences. Ses chansons sont dessinées d'un trait fin, des personnages des situations saisies sur le vif. Une originalité charmante assez joyeuse...

DIPLOMLIC'

Les Inrocks - DIPLOMIC’

DIPLOMIC’ est un groupe de chanson Française. Les textes sont pensés et réfléchis, ils sont porteurs de messages profondément touchant racontant une banlieue que les gens ne connaissent pas ou peu. Une banlieue romantique, une banlieue volontaire, une banlieue émouvante. Le tout magnifié par une composition inspirée de toutes les couleurs qui se cachent derrière ses murs apparemment gris. Les DIPLOIMIC’ sont inspirés par ce que la chanson Française a fait de plus beau selon eux, Brel, Piaf, Montant, Aznavour. On retrouve dans les interprétations d’Ali beaucoup de Brel dans sa façon d’offrir ses textes à son public.

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ISABELLE BAZIN

Nos Enchanteurs - Isabelle Bazin, dérive de sons et de sentiments

..... Là, avec Isabelle Bazin, c’est plus compliqué : elle vous surprend, vous emmène là où vous ne vous attendez pas, en des contrées musicales a priori incompatibles entre elles, qu’elle associe pourtant avec finesse, avec talent. Il y a à l’évidence une survivance de la chanson trad’ en filigranne : on n’est alors pas loin de La Bergère, de Gabriel Yacoub aussi. Le clin d’oeil est plus appuyé encore quand elle nous chante Le luneux, repris à Malicorne. Il y a du jazz. Du jazz et du trad’ en liberté, comme un free-folk qui unie, marie les portées et les instruments : la clarinette, la clarinette basse et le nickelharpa de Marie Mazille, orfèvre s’il en est de la musique, la contrebasse de Stéphane Arbon, les clavier et samples de Sylvain Berger. Et le diatonique d’Isabelle Bazin.

VERONIQUE SANSON

Libé - Véronique Sanson : «Est-ce que je suis à la hauteur de ce que j’étais ?»

Rencontre avec la pionnière de la pop hexagonale, à l’occasion de la sortie de «Dignes, dingues, donc…», son premier album après six ans de silence.

Difficile à imaginer aujourd’hui. L’arrivée de Véronique Sanson au tout début des années 70 fut une formidable déflagration dans l’univers variétoche des chanteuses de l’époque, réduit à un duel Dalida vs Sheila. Lorgnant résolument vers la pop anglo-saxonne à la différence des précitées, les chansons de Véronique Sanson se sont pourtant, au fil du temps, inscrites dans l’imaginaire populaire. Toutes générations confondues, qui n’a pas fredonné au moins une fois dans sa vie, comme lors d’une soirée karaoké plus ou moins arrosée, Besoin de personne, Ma révérence ou Chanson sur une drôle de vie en essayant d’imiter ce légendaire vibrato ? Même si on oublie trop souvent qu’elle a signé, en 1974 avec l e Maudit, un des plus grands albums de la pop française, pour ne retenir que la caricature d’une vie personnelle secouée.

SOLLEVILLE

Nos Enchanteurs - Francesca Solleville, bonne mine, bonne pioche

« Il y a beaucoup de Lola dans mes chansons parce que c’est ma petite fille » dit-elle avant de chanter Les petits cailloux de Pierre Crosz. De la toute petite à la grand-mère, c’est tout un monde sur cette scène par elles magnifiée. Où se croisent et presque s’interpellent Gustave Nadaud et Allain Leprest, Louis Aragon et Jean-Michel Piton, Anne Sylvestre et Jean-Max Brua… Un récital sans temps mort, fait de pics d’émotion, de colères jamais rentrées et de grands espaces de pure tendresse que prolongent les touches graciles de Nathalie Fortin. Telle est Solleville, toujours aussi grande dame qu’à ses débuts. Excellente ! Et sans âge.

PATRICIA KAAS

Culturebox - Patricia Kaas marquée par les attentats : "On a juste envie de dire les choses"

Patricia Kaas revient avec un nouvel album éponyme dans lequel la chanteuse interprète des chansons inédites, ce qui n’était pas arrivé depuis 2003. Elle y aborde des thèmes parfois graves avec le recul que lui donne la cinquantaine et la traversée de certaines épreuves. Dès janvier prochain, une tournée permettra au public de retrouver la Mademoiselle qui chante le blues depuis trente ans.

LOUIS VILLE

Norbert Gabriel - Louis Ville, le blues de l’imprécateur…

En suite indirecte à Prison’s Blues (hier samedi) quelques lignes et quelques chansons de ce formidable Louis Ville, un des grands guitaristes du genre, quand la guitare sonne comme un tocsin, quand c’est un blues d’aujourd’hui qui vous donne la rage de vivre, et une envie irrésistible de changer un monde qui devient détestable, voyez les actualités, et ce qui se passe dehors, ici et maintenant, et en France… Et on voudrait que je sois heureux et tranquille ?

SAEZ

C'est déjà ça - Saez, après et avant le Bataclan

Le plus secret et intense des artistes français poursuit son projet pharaonique, de juillet 2016 à juillet 2017, mêlant sortie d'album, tournée et une année parsemée d'interventions via son site. Prônant la lutte par la poésie et l'art en général, son "Manifeste" a livré ses deux premiers extraits ces jours-ci, empreints des attentats du Bataclan et de Charlie Hebdo.

FRANCOISE HAUTFENNE

Claude Févre - Françoise Hautfenne, âme insulaire de la chanson

.... L’objet même entre nos mains offre une atmosphère qui nous tire par la manche vers des lacs et des rivières baignés d’éclats de lune. Paysage baigné  de la douceur surannée d’un paysage de Jean-Baptiste Corot, un souvenir de Mortefontaine où se glisserait la chanteuse aux gestes aériens. Elle égraine paisible  les jours. Ephéméride dit le titre. La chanson éponyme apparaît au milieu de l’album. Cette chanson là s’ouvre comme beaucoup d’autres sur quelques notes graciles  de la harpe de Claire Galo-Place. L’instrument  donne incontestablement sa couleur singulière à cet univers où la voix de Françoise Hautfenne se promène sans effets, douce comme pour nous emporter dans des valses légères où nos pieds ne toucheraient même pas terre. « A petits pas cahin-caha / La vie qui va la vie s’en va… »  et se dessine alors l’écoulement de saisons en images poétiques « L’émoi des arbres est à se pâmer / Quand ils éclaboussent le ciel… » au printemps et quand vient l’automne « Tout s’engourdit, tout s’assourdit… » On ferme les yeux et l’on écoute ses rêves… On écrit peut-être aussi, comme aujourd’hui.

 

mercredi, 16 novembre 2016

Nos Enchanteurs - Et la chanson va ! Et les concours et prix vont…

Il y aurait bien 200, sinon plus, concours et tremplins de la chanson dans l’Hexagone. Peu d’entre eux émergent du lot et se taillent une renommée médiatique. L’actualité de ce mois de novembre en met cependant quelques uns en pleine lumière.

Il en va ainsi du tremplin Vive la reprise, du Centre de la Chanson, rebaptisé depuis cette année Et la chanson va ! La finale s’est déroulée ce lundi 14 novembre, sous le parrainage cette fois-ci et en présence de Francis Cabre

Voici le palmarès de la 22e édition :

Grand Prix du Centre de la Chanson : Clio
Prix d’interprétation : Carole Masseport
Prix UNAC de la meilleure chanson originale : Mèche​ pour « Prince-moi »
Coup de cœur du public : Bonbon vodou
Coup de cœur des professionnels : Bonbon vodou

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