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vendredi, 09 février 2018

Gaël Faye - Tôt le matin (avec 20Syl) // Les Révélations des Victoires de la Musique 2018

Juliette Armanet - L'indien // Les Révélations des Victoires de la Musique 2018

Eddy de Pretto - Fête de trop // Les Révélations des Victoires de la Musique 2018

jeudi, 08 février 2018

Le live : The Limiñanas - C à Vous - 24/01/2018

Limiñanas (Liminanas) Album de la Semaine

L'album du jour : Fedecki, Clair de femme

Mathieu Pirro - Les mêmes goûts

Pascal Mary - Puisque la Terre est Ronde

L'actualité de la chanson française du 26 janvier au 1er février

Les artistes de la semaine : André Bonhomme, Frédéric Bobin, Nicolas Peyrac, The Limanas, Pascal Mary, Fedecki, Mathieu Pirro....

L'album de la semaine : Nicolas Peyrac, Suffit que tu oses

ANDRE BONHOMME

Francofans - Toute la jeunesse d'André Bonhomme par Yves Le Pape

Agend'Arts, Lyon le 14 janvier 2018

André Bonhomme fait partie de la même génération que Pierre Delorme et Michèle Bernard, ces pionniers de la scène chanson lyonnaise, qui ont fait leurs débuts dans les années 60 ou 70. Tous les trois font preuve de la même longévité et on est heureux de les retrouver sur scène avec leur grand talent et leur belle énergie.

André était donc sur la scène d'Agend'Arts en janvier, dans ce lieu où le meilleur de la scène chanson se produit chaque semaine tout au long de l'année. Il était entouré de Florent Jouffroy à la flûte et de son fils Emmanuel au piano.

FREDERIC BOBIN

Nos Enchanteurs - Frédéric Bobin : faire de ses chagrins de doux refrains

A la question mille fois ressassée, les frères Bobin (Philippe le parolier, Frédéric le compositeur et interprète) pourraient répondre :  non, la chanson ne peut changer le monde. Tout au plus interpeller les hommes, agir sur leur conscience. Et « Tant qu’il y aura des hommes / On pourra espérer »... Bien que d’évidence elle le soit, bien plus profondément que l’artifice ou le fard de certains artistes qui font profession de la révolte, la chanson des Bobin n’est pas engagée : elle se heurte simplement, parfois, aux fracas du monde, à sa folie. Elle est engageante et c’est déjà ça, charriant sa mélancolie, ses regrets. Et délivre, au passage, non des messages mais plutôt des images, des paysages faits de lieux, d’êtres se mouvant, émouvants. Des souvenirs, des faits, et l’empreinte de sentiments. Elle tente d’être utile, de « chanter pour les hommes oubliés ».

CHARLOTTE GAINSBOURG

Baptiste Vignol - Trésor d’émotion

Si l’on a pu passer à côté de ses précédents disques pour de mauvaises raisons sans doute (chantés en anglais, encensés avant de paraitre du seul fait de son vénérable patronyme), REST, le premier album « français » de Charlotte Gainsbourg, scintille du charme inattendu d’un bijou rose chair et noir. Drapée d'harmonieuses boucles musicales conçues par SebastiAn, l’écriture de Charlotte Gainsbourg recèle tant de droiture et de liberté, de faculté à se livrer, qu’elle lui permet, en un seul disque, et trois immenses chansons, d’intégrer le club très select des reines de la variété française. 

NICOLAS PEYRAC

Nos Enchanteurs - Nicolas Peyrac, l’épure bonheur

Le retour de Nicolas Peyrac ? Non, il n’est jamais parti. Les retours, les adieux des artistes… c’est tellement ridicule ! 20 albums en plus de 40 ans de carrière, cet artisan de la chanson n’a jamais cessé de chanter, d’écrire, de composer, au gré de son chemin de baladin, de ses voyages, de ses rencontres, de la vie qui l’inspire. Ses incontournables font partie de notre patrimoine (Et mon père, Je pars, So far away, Goodbye California, Mississipi river, Le vin me saoule…) mais ces énormes succès ne doivent pas occulter une discographie riche, mine de petites pépites qu’il a choisi depuis quelques mois d’offrir sur scène dans une formule minimaliste qui lui va si bien : les acoustiques improvisées. Nicolas, c’est la simplicité-même. Sans artifices, ses textes, ses mélodies nous touchent par leur la sobriété et leur élégance pure.

Culturebox - L'album "Suffit que tu oses" signe le retour de Nicolas Peyrac

De passage à Monteville en Normandie pour un concert acoustique improvisé, Nicolas Peyrac, l'interprète de "Je pars" présente son nouvel album "Suffit que tu oses", sorti en janvier 2018. Rencontre avec un artiste libre et heureux qui sillonne la France depuis trois ans au plus près du public.

"Je pars", "So far away" et "Mon père" lui collent encore à la peau plus de 30 ans après. Et pourtant, Nicolas Peyrac n'est pas l'auteur que de ces quelques succès qui ont bercé nos vies. Il a écrit et composé bien d'autres chansons.La preuve: il en est à son 20e album. "Suffit que tu oses" est dans les bacs depuis le 19 janvier 2018. 

LE DESERTEUR

Norbert Gabriel - Histoire d’une chanson « Le déserteur »

Nos chers résocios facebouquiens font circuler parfois des balivernes insultantes pour l’intelligence, ou des approximations du même métal.  Ainsi, je viens de voir revenir quelques mots sur Le déserteur que  Mouloudji aurait « édulcoré  » pour éviter la censure. D’où le retour de l’histoire de cette chanson, publiée il y a quelques années.

Récemment encore, à la radio, un animateur a été plus qu’approximatif avec cette chanson, comme en Juin 2009, dans Vivement Dimanche avec Juliette Gréco à l’honneur, Michel Drucker fait une petite digression sur Boris Vian et « Le déserteur » et dans une approximation assez désinvolte, il explique que Boris Vian a réécrit quelques lignes de la chanson pour qu’elle puisse passer en radio…

MATHIEU PIRRO

Nos Enchanteurs - Les goûts de Mathieu Pirro, ses couleurs et ses saveurs

Un humain qui marche à côté du troupeau, un cœur blessé qui bat trop fort, un esprit frappeur à coup sûr… comment définir Mathieu Pirro ? Et puis faut-il le définir ? Le mieux est encore de l’écouter.

Il a le verbe bien ajusté. Avec des mots de tous les jours, il sait tourner ses vers, il fait flamboyer ses idées et ses sentiments, laissant parfois des cendres au goût amer pour les fâcheux. Il crie sa tolérance à ceux qui n’ont pas Les mêmes Goûts, dans la lumière discrète de Charlie. Il chante pour consoler la belle de La Cruauté des Roses et dépouiller la vanité des Coquelets. Ses chansons trainent dans leurs mélodies des rumeurs de canons, des effluves de sang, des relents amers d’amours déchirées, mais elles ont la caresse des matins printaniers et la saveur des fruits défendus.

THE LIMANAS

Libé - The Limiñanas, ombre porteuse

Longtemps adulé outre-Atlantique, le duo garage-pop de Perpignan convie un brillant casting de musiciens sur l’éthéré «Shadow People».

Lancer la lecture du titre Dimanche, c’est découvrir que le soleil de Perpignan peut faire surgir des ombres déformées, celles du Velvet Underground ou de Can, pour citer les plus emblématiques d’entre elles. Projetées dans le faisceau des Limiñanas, elles prennent la forme d’un remontant pour l’estime du rock français. Alors que l’apéritif matinal tremble sur ce rythme obsédant, invité par le couple Limiñana qui tient la baraque, un type bourru appelé Bertrand Belin déblatère en poète maudit à propos d’une Suzie-Vickie, sûrement une fille du coin : «Elle souffle le chaud, elle souffle le froid, c’est comme ça, faut faire avec.»

PASCAL MARY

Nos Enchanteurs - Pascal Mary, la douce blessure de vivre

Quatrième album pour Pascal Mary si l’on excepte son premier EP épuisé, Presque est déjà album bilan, au mitan d’une vie. Une sobre pochette aquarellée d’or rouge et de bleu (création de Lucie Larrive), la photo de Pascal a disparu du cartonnage comme du livret.  Il n’a plus besoin d’identification. Elle fait penser à une illustration d’expérience de mort imminente, et c’est dans la chanson Presque, éponyme de l’album, qu’on y trouve la clé :  « Presque / Encore un pas j’y suis / Connaîtrai-je enfin le mystère / Vais-je enfin ne plus toucher terre ».

FEDECKI

Nos Enchanteurs - Fedecki, courte échelle vers le bonheur

..... Et dedans Madame, qu’est-ce qu’il y a ? L’EP s’appelle Clair de femme, et Romain a choisi comme nom d’artiste Fedecki, le patronyme d’une aïeule maternelle polonaise. Tout cela vous évoque quelque chose ? Il s’agit là d’un EP conceptuel, qui doit beaucoup à Romain Gary, alias Roman Kacew, né en 1914 à Vilnius dans l’Empire Russe, la Vilna polonaise de l’entre-deux guerres. Arrivé en France à 8 ans, connu pour ses multiples avatars et ses deux prix Goncourt, dont le second sous le nom d’Emile Ajar. Un album sur l’ambiguïté de l’être humain, le rêve, l’affect, l’espoir.

Pacal Mary - Me v'la

mercredi, 07 février 2018

André Bonhomme et Paul Sabia : Autant que faire se peut