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mardi, 05 mai 2020

Boulevard Des Airs - "Si la vie avance" (en acoustique durant le confinement)

Téléconcert : Gari Grèu, Guizmo de Tryo et Gerôme Briard jouent en multicam "Il Arrive"

Grands noms ou nouvelle scène, "l'Obs" vous offre chaque jour des sessions acoustiques pour se divertir et se rassembler en musique. Le tout filmé et produit par les artistes eux-mêmes. Le Collectif 13 reprend du service. Ici, dans ce téléconcert spécial pour "l'Obs" Gari Grèu du Massilia Sound System chante en duo avec Guizmo de Tryo, accompagné à la guitare de Gerôme Briard. Il reprennent leur titre "Il Arrive", tiré de "Chant libre", paru le 18 janvier 2019. Montez le son et prenez soin de vous.

Phanee de Pool - On se prenait dans les bras

2ème vidéo crée spécialement pour l'émission "Bon pour la santé" diffusée sur RTS1 le 25.04.2020. Images: Phanee de Pool Montage: Phanee de Pool Paroles et musique: Phanee de Pool Production: Escales Records

#PhaneeDePool #chanteàlamaison

lundi, 04 mai 2020

La Caravane Passe : Confinement #2 : J'BIVOUAK

Chers amis, malgré le confinement et malgré notre dispersion géographique entre Paris et Perpignan, nous sommes heureux de vous faire partager notre deuxième LIVE en télétravail :)
On s'est bien marré à faire cette vidéo, et on espère que ce sera contagieux !

Roberdam : A l'amitié et à l'amour

Merci à tous ceux qui ont contribué de près ou de loin à faire que ce clip apporte un peu de bonheur, de partage, de courage, d’humour, d’amitié et d’amour dans cette période si particulière et historique. Roberdam #chanteàlamaison

Gérard Delahaye - Pour devenir grand

La question que se pose tout enfant qui voudrait grandir plus vite : youpiie ! j'ai la réponse et la solution... Et comme toujours: chantez avec moi dès que les sous titres apparaissent !

Le Caribou Volant - Jeu tu île [Hommage à Koh-Lanta] Chanson confinée #5

Le Caribou Volant #chanteàlamaison

Céline Faucher : Le Temps des vivants (Pauline Julien)

#chanteàlamaison

dimanche, 03 mai 2020

Francis Cabrel - Le jour 3 - Je reviens bientôt ( Mars 2020)

Idir "Tendresse" (INA, 1995)

18:00 Publié dans Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : idir, musique, chanson |  Facebook |

Libé - Mort d'Idir : le peuple kabyle sans voix

L'«icône de l'art algérien», connu notamment pour «A Vava Inouva», est mort samedi à l'âge de 70 ans.
 
L’hécatombe, c’est le mot qui revient désormais dans le flux des réseaux tant les morts se succèdent du côté de la musique. Dernier en date, Idir, 70 ans, annoncé par la famille sur la page officielle de Facebook : «Nous avons le regret de vous annoncer le décès de notre père [à tous], Idir, samedi à 21h30. Repose en paix, papa.» Un message pudique, à l’image du personnage qui restera dans la mémoire collective comme l’une des principales voix (avec Lounis Aït Menguellet) du peuple kabyle, dans laquelle se reconnaissait plus largement la communauté maghrébine des deux côtés de la Méditerranée. Ce que confirment les témoignages, rassemblant bien au-delà des questions d’âges et de genres. Ces messages d’anonymes, ou de gens du «métier» comme on dit, en disent autrement plus long du chagrin que celui du président algérien, Abdelmadjid Tebboune, qui salue «une icône de l’art algérien». «Avec sa disparition, l’Algérie perd un de ses monuments.» Et comment.
 
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Nos Enchanteurs - Idir, 1949-2020
 
Qui n’a jamais vu Idir en scène ne peut s’imaginer la ferveur de son public, de ces femmes et filles et de leurs youyous qui éclatent de partout, comme les plus belles fusées d’un feu d’artifice, de ces vagues de bonheur, du regard des gens, de leur sourire. De cette tendresse dont l’épicentre est en scène : ce monsieur à l’allure banale, qui vous rassure, vous enchante de ses petites chansons, chaque fois « trois minutes de voyages, de rêve et d’utilité si on y arrive ». Des chansons qui, à elles seules, formaient le chant majeur d’Idir, somme de simplicité et d’émotion, d’inspirations traditionnelles et de respirations. Qui nous restituaient les joies et les peines, la vie quotidienne des femmes, les désirs frustrés, la calebasse saccadée qui rythme la tête et le cœur. Idir ne nous chantait que son pays, en tristesse belle mais en tristesse quand même. Des chansons douces comme quand on berce un enfant, qu’on le console et qu’on lui donne la force d’affronter l’avenir. Le public était son « métal précieux » qui par lui retrouvait l’ambiance de là-bas, le sel de la fête, le sucre de la douceur. Nul n’avait besoin d’être natif de Tizi-Ouzou pour vivre, le temps d’un concert, la fierté d’être kabyle, d’une culture minoritaire mais fière, qui s’emploie à se frotter à d’autres vents, à joindre à elle d’autres racines dans une rare évidence musicale : « Ça, c’est une flûte irlandaise. J’y fais de la musique kabyle dessus : c’est une forme d’intégration ».