France Inter : Alain Souchon en live pour France Inter : "Un terrain en pente" & "Jaloux du soleil", inédit...

"Ferme les yeux vois / Un ballon qui s'ennuie / Sur la plage du Crotoy", ce sont les mots qui ouvrent "Âme fifties", la chanson et le nouvel album d'Alain Souchon, dans les bacs depuis octobre 2019. Retour gagnant, l'album est réédité le 13 novembre 2020, emmené par le titre inédit "Jaloux du soleil", ici en live. 

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Le très bas, Christian Bobin / Estelle Meyer

"L'enfant partit avec l'ange et le chien suivit derrière." Cette phrase ouvre le livre si beau de Christian Bobin, "Le très-Bas". C'est un livre sur Saint François d'Assise, où les oiseaux viennet se poser à chaque page, où l'amour souffle sur la peau du papier. L'eau coule et l'onsent l'âme qui se déplie. Beau voyage dans ses mots.

Je t'aime, Paul Eluard/ Estelle Meyer

Des trésors d'amour c'est la seule chose qui compte. Le soleil qui monte à la tête.
L'immense pureté de sa poésie: Paul Eluard

Ma vie avec la vague, Octavio Paz/ Estelle Meyer

Cher.e.s, que diriez vous de tomber amoureux d'une vague?
Littéralement!
Une vague immense, chantante, ardente, brune, obscure, transparente et ardente, faite d'eau et d'éclairs. C'est cet amour que raconte Octavio Paz, prix Nobel de littérature en 1990.
Poète immense, mexicain, au sang indien et espagnol qui s'enroule comme une vague. Belle eau claire éclaboussante!

Tao te king, Lao Tseu / Estelle Meyer

Pour ouvrir le vide, créateur de tout, Lao Tseu, fondateur du taoïsme avec ces mots d'une clarté et d'une profondeur époustouflante

Poème pour après, Philippe Seghers / Estelle Meyer

Découvrez Pierre Seghers qui écrit ce poème à sa femme juste avant sa mort. Cela s'appelle poèmes pour après. Sentez la douceur et la puissance de son amour. Et la responsabilité bonne de la vie. Pierre Seghers : résistant, poète et immense éditeur de poésie. D'Eluard à Neruda, Pessoa, il publiera de son vivant plus de deux mille poèmes du monde entier. Gratitude immense grand monsieur. Beau jour chères flammes de vie.

Velada de minuit, Indiens Mazatèques / Estelle Meyer

La femme de l'eau qui coule ouvre ce jour. Les grandes rivières, sources, fleuves et mer vous accueillent dans leurs bras puissants où tout est un, uni par l'eau. L'eau qui ne dédaigne aucun lieu. L'eau qui unit, lave, purifie, bénit. L'eau dont nous venons, primordiale. Ce poème comme une prière vient des indiennes mazatèques. Recevez leur beauté si grande. Que ce jour soit fluide, nourrissant, tendre et transparent comme l'eau claire de nos cœurs. Et que chacun.e reçoive l'eau à laquelle elle/il aspire au plus profond.