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mardi, 08 août 2017

Florent Mothe et Roland Romanelli – J’veux du soleil (Accordéons-nous)

Le chanteur Florent Mothe et l'accordéoniste Roland Romanelli étaient dans nos studios pour nous faire découvrir le titre J'veux du soleil, premier extrait de l'album Accordéons-nous. Sortie prévue le vendredi 21 juillet avec RFM !

Vianney en concert aux Francofolies de la Rochelle


Vianney en concert aux Francofolies de la Rochelle

Série Les femmes qui ont marqué la Bretagne. 4. Berthe Sylva, la voix des Années folles © Le Télégramme

« C'est aujourd'hui dimanche, tiens, ma jolie maman… Voici des roses blanches, que ton coeur aime tant... » ou « On n'a pas tous les jours vingt ans, ça nous arrive un' fois seul'ment... ». Si le nom de Berthe Sylva est aujourd’hui oublié du grand public, plusieurs générations de Français connaissent encore ses airs de musette, et ces quelques phrases de refrains mélodramatiques qui lui ont valu tant de succès dans les années 1930.  Née le 7 février 1885 à Lambézellec près de Brest, Berthe Faquet - de son vrai nom -, fille d’un marin et d’une couturière est dotée d’une mémoire surprenante.
 
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lundi, 07 août 2017

Soan "l'Inattendue" Auxerre le 24/06/2017

Barbara "Nantes"

Croisière Age tendre : Georges Chelon et Michelle Torr

Nos Enchanteurs - Barjac 2017. Mehdi calmant parlant, Krüger est un médicament

.... On connaît l’ouverture et l’exigence de la programmation artistique de Jean-Claude Barens depuis belle lurette. Mais, en ce mardi 1er août 2017, il faut bien reconnaître qu’il a poussé le bouchon très loin. En programmant Vincent Tron Cheirézy & Christina Rosmini sous le chapiteau, pour les concerts de l’après-midi, puis Mehdi Krüger, suivi de La Mal Coiffée, dans la Cour du château, il a tenté un coup de poker très culotté. « J’aime les gens qui doutent » chante, encore et toujours pour notre plus grand plaisir, l’immense Anne Sylvestre. Hé bien, on pourra dorénavant écrire, en parlant du directeur artistique de Barjac m’en chante, « J’adore les gens qui osent ». Ce qui ne signifie pas qu’ils ne doutent pas. Mais, juste qu’ils ont des convictions suffisamment chevillées au corps, pour oser présenter -à un public féru de chanson francophone dite « de qualité » (ou « de caractère », selon les chapelles)- de tels artistes.