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dimanche, 02 janvier 2022

Éric JEAN-JEAN : « Les derniers secrets de JJ Goldman »

Le meilleur de 2021 : Les Grandes Marées de François Gaillard

Le meilleur des reprises 2021 : Clara Luciani chante Dalida

Le meilleur des reprises 2021 : Tribute Thou Joe Dassin - ATBC (les artistes lyonnais reprennent Joe Dassin)

Le meilleur des reprises 2021 - Une Touche d'optimisme, Trois petites notes de musique - Yves Montand

L'album de la fin de l'année : Francesca Solleville, Le temps de vivre

L'album de la fin de l'année - Tôt Ou tard - Demain demain

« Demain, demain » par les artistes du label tôt Ou tard

Blick Bassy Mathieu Boogaerts Philippe Campion Cats on Trees Chiloo Clou Albin de la Simone Vincent Delerm David Donatien Clément Ducol Féfé & Leeroy Foé Erza Muqoli Noé Preszow Shaka Ponk Vianney

Paroles et Musique : Claude Sicre + COEUR (droits réservés)

L'album de la fin d'année : Sapho, Jalousie, amour, mort

samedi, 01 janvier 2022

[LE CLIP FRANÇAIS] 5/5 : Retour sur “L’odeur de l’essence” d’Orelsan avec David Tomaszewski

Le 17 novembre 2021, Orelsan opérait son grand retour en dévoilant “L’odeur de l’essence”, premier single de son nouvel album, “Civilisation”, à sortir deux jours plus tard. Pour accompagner ce titre coup de poing, un clip tout aussi puissant : dans une sorte de batcave, le chanteur rappe les maux de la société devant un écran géant – un “digital set” dont la technologie fait fureur à Hollywood. Cette vidéo, qui cumule plus de 10 millions de vues en moins d’un mois, ne signe pas qu’un seul come-back puisque, derrière la caméra, c’est David Tomaszewski qui filme. Spécialiste des effets spéciaux, le réalisateur français expatrié à Londres avait laissé sa patte visuelle sur “Le chant des sirènes”, deuxième album d’Orelsan (2011). Il y était directeur artistique, responsable de toute l’imagerie qui entourait le chanteur et surtout de ses clips.

Les deux avaient déjà collaboré pour La peur de l’échec, dernier single de “Perdu d’avance (2009), puis sur N’importe comment, un duo avec The Toxic Avenger. Mais le grand œuvre de Tomaszewski, c’est Raelsan en 2011, suivi de Plus rien ne m’étonne, Si seul, Fais les backs et l’ambitieux Ils sont cools. Leur collaboration aux 150 millions de vues sur YouTube est par ailleurs longuement racontée dans le documentaire consacré à Orelsan, Montre jamais ça à personne, qui a permis à l’homme de l’ombre David Tomaszewski d’en sortir un peu. Après Le chant des sirènes, le rappeur et le réalisateur avaient mis un terme à leur collaboration. Le premier a ensuite été fidèle à d’autres grands noms du clip français (Greg & Lio, Ousmane Ly & Adrien Lagier), avant de passer lui-même à la direction de ses propres clips. Le second, toujours adepte des effets spéciaux, a exercé ses talents pour d’autres musiciens (Gims, Tessæ, Vitaa, etc.) et pour le cinéma (le très réussi générique d’introduction du dernier OSS 117, c’est lui). Jusqu’à leur grand retour ensemble devant et derrière la caméra. Autant de sujets que David Tomasweski, depuis Londres, aborde avec nous dans notre grand entretien.

14:35 Publié dans Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | |

vendredi, 31 décembre 2021

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