Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 25 octobre 2018

Emma Staël au Forum Léo Ferré - L'homme de la déchèterie

mercredi, 24 octobre 2018

Emma Staël au Forum Léo Ferré - Dans les rues de la ville

L'actualité de la chanson française du 12 au 18 octobre

Les artistes de la semaine : Moussu T et les Jovents, Odezenne, Emma Staël, The Pirouettes, Jur

Les vidéos de la fin de semaine : Johnny et Moussu T

Le clip de la fin de semaine - Johnny Hallyday - J'en parlerai au diable

L'album de la fin de semaine : Johnny Halliday, Mon pays c'est l'amour

JOHNNY

Télérama - On a écouté l’album posthume de Johnny Hallyday : inégal, mais une voix toujours saisissante

“Mon pays c'est l'amour”, l’album posthume de Johnny Hallyday, dont la sortie est prévue le 19 octobre, était dévoilé aujourd’hui à la presse et à quelques fans triés sur le volet. Après (une première) écoute, on reste un peu sur notre faim, malgré plusieurs chansons émouvantes.

L'Obs - Johnny Hallyday : nos premières impressions à l'écoute de l'album "Mon pays c'est l'amour"

Il est savamment programmé pour monopoliser le bruit médiatique et comptabiliser un maximum de (pré)commandes dans la semaine. Sous le titre ambigu et guimauve de "Mon pays c’est l’amour", l’album posthume de Johnny Hallyday, qui sort le 19 octobre chez Warner, constitue un événement. Pour qui aime la chanson française dans sa pluralité, on peut aussi passer son tour et préférer découvrir "la Fragilité" de Dominique A, "les Rescapés" de Christophe Miossec, "Comme un ours" d’Alexis HK, "ces Garçons-là" de Radio Elvis ou encore le sublime hommage de Maurane à Brel. Mais là n’est pas le sujet, là n’est pas le projet. Johnny sera toujours Johnny. 

MAURANE/BREL

France Info - Maurane : Brel, par sa fille Lou

Alors qu’était célébrée mardi le quarantième anniversaire de la mort de Brel, la même semaine, trois jours plus tard, sort le dernier album de Maurane intitulé justement "Brel".

Nous rendons deux hommages en un aujourd'hui : le premier à Brel, le second à Maurane. On fêtait en effet mardi le 40e anniversaire de la mort de Jacques Brel, et sortait la même semaine le dernier album de la chanteuse Maurane, qui nous a quittés le 7 mai dernier.

ODEZENNE

Télérama - Odezenne, Au Baccara

En dix ans et quatre albums, Odezenne se sera forgé une identité originale et solide ; non pas en courant après la mode, mais en forgeant sa propre modernité. Dans la forme, elle émerge d’une fusion des esthétiques, plus poussée que ce qu’on entend ordinairement : chez eux, ce ne sont pas seulement le rap et la chanson, ou le rap et l’électro, qui se mêlent, mais la chanson, le hip-hop, le dub-step, l’ambient, le trip-hop, le slam, le jazz, la pop — on en oublie. Mix d’hypnotisme et de tension.

EMMA STAEL

Nos Enchanteurs - Emma Staël, étrange et séduisante poésie

Fasse que La vierge de Barjac, qu’elle chante ici, aux pensées parfois impures qui ne peuvent nous laisser, comme elle, de pierre, intercède en sa/notre faveur et la fasse programmer au fameux festival de cette commune du Gard où Emma Staël aurait visiblement sa place. Emma Staël ? Vous pouvez ne pas connaître, bien que nous ayons eu l’occasion de la présenter ici-même : c’était il y a quatre ans (lire ici) lors de la sortie de son premier album. Elle faisait alors équipage avec le pianiste et arrangeur Marco Albano (co-compositeur ici sur trois titres). On la retrouve sur ce nouvel opus avec Claude Préchac à la réalisation et aux arrangements. Jolie équipe pour une réalisation soignée, sensible, irréprochable.

THE PIROUETTES

Kombini - The Pirouettes

À l'occasion de la sortie de leur deuxième album Monopolis, on a parlé renouveau de la variété, France Gall et histoires d'amour avec le duo.

Cette rentrée, la "French Pop" a le vent en poupe. On pense bien sûr à Christine and The Queens, Columbine, et tous ces musiciens qui incarnent la vague du renouveau de la chanson française.

The Pirouettes, le duo parisien composé de Léo et Victoria – ou Léo Bear Creek et Vickie Chérie pour leurs noms d'artistes – font aussi partie de cette scène émergente. Quatre ans après Carrément Carrément, leur deuxième album, l'ambitieux Monopolis, touche avec ses paroles romantiques sur fond d'instru minimaliste.

CHRIS

RFI - Chris, confessions sur la piste de danse

Danse, sexe, funk, liberté et affirmation de sa masculinité, voici quelques-uns des éléments qui résument le changement spectaculaire qu'a connu Christine and the Queens, "Chris" comme elle se présente aujourd'hui. L'artiste est métamorphosée de la tête aux pieds à l'occasion de ce deuxième album dynamique, ouvert et osé. Un deuxième essai parfait pour faire luire les corps sur la piste de danse et mettre en sourdine le style classieux autrefois apprécié sur Chaleur humaine.

AGNES GAYRAUD

France Inter - Agnès Gayraud : "Dans la pop, l’ordinaire devient une figure de l’existence toute entière"

Musicienne et philosophe, Agnès Gayraud publie l'essentielle "Dialectique de la pop" et choisit pour Interférences sa bande-son idéale. De Brigitte Fontaine à Lee Perry en passant par Françoise Hardy. Nouveautés et archives au programme de la 2ème heure avec, entre autres, Jean Genet et Muthoni Drummer Queen.

WRIGGLES

Le Parisien - Le retour des Wriggles, les clowns féroces de la chanson française

Près de dix ans après, les Wriggles reviennent ! Le groupe renoue avec l’esprit de ses débuts. Une bonne bouffée d’humour acide en perspective. Ils seront le 19 octobre 2018 à Ablon (94) avant une grande tournée.

Les clowns ressortent leurs tenues rouges du placard. Après neuf ans de silence, Les Wriggles, ces cinq chanteurs qui fanfaronnaient sur scène de 1995 à 2009, signent leur come-back. Une cinquantaine de dates sont programmées et, preuve que le public ne les avait pas oubliés, beaucoup affichent déjà complètes.

HALL DE LA CHANSON

Agathe Charnet - A l’école de la chanson française

« Que sont mes amis devenus, que j’avais de si près tenus, et tant aimés ? ». Sur la scène du théâtre du Hall de la Chanson, un jeune homme blond, au visage diaphane, reprend fiévreusement la chanson de Léo Ferré Pauvre Rutebeuf, composée en 1956. Son professeur, Serge Hureau, l’interrompt au bout de quelques mesures : « il faut que l’on sente de façon concrète dans ton regard ce que signifient aujourd’hui la misère et l’abandon. L’important ce n’est pas que cette chanson soit adaptée d’un poème du XIIIème siècle, l’important ce n’est pas Léo Ferré, l’important c’est ce que toi tu vas faire de la chanson et ce qu’elle nous raconte aujourd’hui ».

Préserver et faire retentir le répertoire de la chanson française au plus près du monde contemporain, tel est justement l’objectif du Théâtre Ecole des répertoires de la Chanson (TEC) qui vient d’ouvrir ses portes en ce mois d’octobre 2018. Une quinzaine d’étudiants, musiciens arrangeurs et interprètes, ont intégré cet établissement d’un genre inédit en France, au sein du Hall de la Chanson.

LAPOINTE

Télérama - Pierre Lapointe : “J’écris rarement pour les autres…mais Patrick Bruel n’a pas eu peur”

En fait, le chanteur québécois se sent bien à Paris, auprès d’artistes qui l’inspirent. Et tant pis s’il n’y est pas aussi célèbre qu’au pays.

MASSILIA

RFI - Massilia Sound System, l’infatigable commando fada

Patrimoine vivant de la chanson marseillaise moderne, Massilia Sound System, remueur de conscience, était jeudi 11 octobre à l’affiche de la 27e édition de la Fiesta des Suds, à Marseille. Rencontre avec Gari Grèu, l’un des trois MCs de cette institution du "oaï" occitan (mais pas seulement).

RFI Musique : La Fiesta des Suds est indissociable de votre carrière. Vous vous y être produit une quinzaine de fois et notamment en 2014 pour fêtez vos 30 ans. Comment la décriveriez-vous ?
Gari Grèu : Elle est née en 1992, un an après le 1er album de Massilia. Donc, on a des destins un peu chevillés effectivement. Il faut savoir que dans les années 80 et au début des années 90, c’était le marasme culturel à Marseille. Il ne se passait rien. La Fiesta a donné un nouvel élan à la ville et au rapport que les Marseillais entretenaient avec elle : oui, ici, on peut faire aussi bien qu’ailleurs.