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mercredi, 09 octobre 2019

Scènes - Clara Luciani explose !

L'album du jour : Jehan, Le disque en vers

Je ne te salue pas | JeHaN & Lionel Suarez (Allain Leprest) | Pacifiste inconnu

JEHAN : 'Le nid vide' (Bruxelles, Café de la Rue, 2015)

mardi, 08 octobre 2019

GUILAM // Formule Trio // Répétitions - ÉPISODE 4

Taratata Extra : Clara Luciani : "Bonnie & Clyde" (Serge Gainsbourg) (2019)

L'album du jour : Guilam, Fruit défendu

Jehan - J'aimerais tant savoir (de Bernard Dimey)

Louis Ville L'instant

L'album de la semaine : Debout sur le zinc chante Vian

L'actualité de la chanson française du 27 septembre au 3 octobre

Les artistes de la semaine : Debout sur le zinc, Louis Ville, Anne Sila, Jehan, Guilam, Le Hache

Les vidéos de la fin de semaine : Boris Vian

L'album de la fin de semaine : Boris Vian Le déserteur

DEBOUT SUR LE ZINC

Nos Enchanteurs - Debout sur le Zinc : et Vian, passe-moi le punch…

..... Toutefois, l’intérêt majeur de l’album réside dans les reprises de chansons bien moins connues, nous permettant de les (re)découvrir d’une oreille quasi neuve. Dans cette catégorie : La Valse jaune, chantée jadis par Mouloudji. A l’origine valse lente aux accents poulbot, elle devient dans les mains du groupe une poétique ballade ensoleillée, légère comme une brise d’été, entraînante comme une chanson de Sinsemilia. Coup de cœur aussi pour la méconnue Il oublia d’oublier d’oublier, petit conte d’humour noir, dont la version actualisée, chantée naïvement à la manière d’un Philippe Katerine, est tout simplement épatante. Citons enfin De velours et de soie, toute en sensualité et douceur, ou L’année à l’envers (interprétée en son temps par Jacques Higelin), lancinante et surréaliste remontée temporelle.

RFI - Tous debout pour Vian !

Pour célébrer le centenaire de naissance de Boris Vian, le collectif Debout sur le Zinc s’est allié à la productrice Françoise Canetti. Ensemble, ils ont forgé un album-hommage, où se dévoilent les contours d’un poète en clair-obscur : un artiste visionnaire et tendre, un amoureux éperdu de la vie.

C’est l’histoire d’un condamné à mort, qui dansait funambule sur les cordes de l’enfance. L’histoire d’un malade du cœur, qui conjuguait le temps restant au présent. Celle d’un assoiffé de la vie, qui remplissait le monde de chansons tendres, impertinentes et futées, de pages de littérature en couleurs vives. Celle d’un joueur de trompette, d’un ingénieur qui surfait sur l’écume des jours et philosophait l’air de rien. À 30 ans déjà, Boris Vian, voué à une mort prochaine, compensait son destin tragique par une urgence, un amour dingue de la vie.

JEHAN

Nos Enchanteurs - JeHaN, la parure et l’apparence du rock’n'roll

.... Est-ce son prénom tiré d’un lointain moyen-âge, la simple évocation du chanteur JeHaN (dont la singulière typographie, à bien y regarder, peut faire songer aux créneaux d’un château fort) nous ramène aux trouvères et troubadours, suggère un peu François Villon. Ce n’est pas faux : il suffit pour s’en convaincre plus encore d’aller le voir en tour de chant, seul ou avec son complice accordéoniste Lionel Suarez. JeHaN y a cette dimension sans âge, ce timbre de voix qui nous semble venir de loin, du fond de notre mémoire. C’est dire si le savoir poser sa voix sur des rythmiques rock’n'roll est en soit, sinon une révolution au moins un singulier événement dans le microcosme de la chanson.

ROSE

Télérama - Rose, chanteuse survivante : “Le dégoût de moi-même était tel que je ne pouvais plus continuer ainsi”

Treize ans après “La Liste”, énorme tube de 2006, la chanteuse Rose sort un album doublé d’un livre, levant le voile sur ce que fut sa vie : des fêtes pour combler la peur, de la cocaïne, de l’alcool... Jusqu’à la renaissance.

« Aller à un concert / Repeindre ma chambre en vert / Boire de la vodka / Aller chez Ikea »... C’était en 2006, une jeune femme à la voix douce et à la guitare, qui minaudait un peu (beaucoup), séduisait radios et public avec des chansons a priori inoffensives. C’était la grande vogue des nouvelles folkeuses françaises, dans la lignée d’une Carla Bruni qui n’avait encore qu’un disque à son actif. Rose, elle, avait 26 ans. Elle allait vendre son premier album à 650 000 exemplaires. Un énorme carton.

GUILAM

Nos Enchanteurs - Guilam, au coeur de chaque instant

.... Tout est doux, soyeux, pas la moindre batterie pour saper, ruiner le charme. Mais guitares, mandoline, basse, contrebasse, percussions, claviers. Tout est suspendu, même et surtout notre souffle. Hors le Skypons-nous, rien ne fixe ces chansons dans le temps, les mots sont quasi intemporels. Ils sont d’hier et de demain, l’aujourd’hui est pour « les histoires d’amours véritables / de celles qui sont courues d’avance / comme un décret, inévitable […] nos pieds plus avancés qu’hier / jouant de nos évanescences / de nos endroits, de nos envers ». Intemporels oui, mais d’une préoccupation contemporaine, urgente, cruciale : la communication, ce monde où chacun est chez soi, replié, frileux, où tout ne tient qu’à ces dérisoires fils qui nous relient. Sur le fil… Dimey ne donne pas sa langue au chat, qui participe sur un titre (Un jour je te connaîtrai mieux), Clémence Martinetti sur un autre (La robe de lin), Héloïse Combes sûre d’elle sur deux (Je chante, Les p’tits béguins). Tous à l’unisson d’un même ton, d’une précise émotion. Tout ça fait un disque rare, précis et précieux, presque unique (c’est tout de même la quatrième de Guilam), qui nivelle par le beau. Un disque déjà indispensable, qu’on aimerait être viral.

JEANNE CHERHAL

RFI - Jeanne Cherhal, en quarantaine épanouie

Avec L’an 40, Jeanne Cherhal dresse une sorte de bilan, en forme d’autoportrait, de sa quarantième année : des pistes joyeuses, sensuelles et libérées, servies par des mots justes et une musique puissante. Rencontre.

La presse féminine, les diktats, la publicité, les marques de cosmétiques voudraient nous le faire croire : pour une femme, à 40 ans, le déclin commence, et la vie se résume, dès lors, à un combat incessant contre les effets intolérables du temps. À mi-chemin entre le rire incrédule et l’indignation horrifiée, Jeanne Cherhal se souvient même de cette question épineuse en titre d’un article de magazine, plus féminin du capiton que du cerveau : "30 ans, le début de la fin ?".

LE HACHE

Nos Enchanteurs - LeHache (elle aime, nous aussi)

.... Folk-song à la française, oui, tant qu’on peut entrevoir en lui, par lui, un peu de la succession de Jean-Michel Caradec (le titre Jalousie en est presque confondant tant il aurait pu être chanté par le créateur de Ma petite fille de rêve). Et de cette époque où le folk-song fleurissait dru entre les pavés de la chanson, tant que LeHache emprunte ici Psylvia à Maxime Le Forestier et fume des taffs sur une Gauloise bleue d’Yves Simon. LeHache cite aussi Julos Beaucarne à propos de La Durance ; nous, nous y voyons aussi du Dick Annegarn… Ce détour par un passé partagé, culture commune, n’est pas le moindre intérêt de cet album.

ANNE SILA

Aficia - Anne Sila : faut-il écouter ‘Fruit défendu’, son nouvel album

Anne Sila est aujourd’hui de retour dans les bacs avec Fruit défendu, son second opus. Faut-il écouter cet album ? Réponse avec aficia.

Vous avez sans aucun doute découvert Anne Sila dans ‘The Voice’. C’était lors de la quatrième saison où la jeune artiste arrive à convaincre le jury mais également le public. En effet, elle aura le loisir d’arriver jusqu’à la finale, devant alors s’incliner face à Lilian Renaud.