"J’ai eu de la chance. J’ai eu une vie, quand même, assez longue dans ce métier. J’arrive toujours à composer comme au premier jour quand je me mets derrière mon piano. Ca m’amuse toujours autant d’inventer des mélodies. C’est le métier que je me suis choisi un jour, quand j’avais 20 ans " confie Julien Clerc. Non sans avoir auparavant tenté Science-Po dans l’idée de faire l’ENA pour plaire à son père, haut fonctionnaire à l’Unesco.
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