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mercredi, 05 juillet 2023

FRÉDÉRIC BOBIN – J'IGNORAIS QUE J'AVAIS DES AILES

vendredi, 30 juin 2023

Le clip de la semaine - Frasiak / La colère de Greta

mercredi, 21 juin 2023

Le clip de la semaine : Antoine Hénaut - Menteur à gages

vendredi, 16 juin 2023

Le clip de la semaine : Christine and the Queens, Je te vois enfin

vendredi, 09 juin 2023

Le clip de la semaine : Dominique A - Au bord du long fleuve tranquille - Album Serge Rezvani Chansons pour Lula

vendredi, 26 mai 2023

Le clip de la semaine : Zaho de Sagazan - La symphonie des éclairs

dimanche, 14 mai 2023

Le clip de la semaine : Tony Melvil - Du dehors

jeudi, 11 mai 2023

Le clip de la semaine - Bertrand Belin - Surfaces

jeudi, 27 avril 2023

Le clip de la semaine : Maud Lübeck - Était-ce toi avec Clotilde Hesme

Extrait de l'album 1988, Chroniques d'un adieu : https://kuronekomedia.lnk.to/1988Chro... Avec Maud Lübeck et Clotilde Hesme Réalisation : Marlène Génissel // Production : Les Filmeuses Paroles et musique Maud Lübeck Label : Finalistes/Kuroneko // Éditions : Remark - Marc Lumbroso Management : Maÿlis Pioux // Promotion : Chloé Hohweiller

vendredi, 21 avril 2023

Le clip de la semaine : Daguerre - Les conteneurs - Feat Martin Luminet

vendredi, 14 avril 2023

Le clip de la semaine : Zaho de Sagazan - Tristesse

Télérama (9 décembre 2022) Zaho de Sagazan, nouvelle sensation de la chanson, se dévoile aux Trans Musicales de Rennes

En quinze chansons, la chanteuse de 22 ans, à la croisée de Stromae et Pia Colombo, a emporté son public, mercredi soir aux Trans. Rencontre.

Pas le genre à paillettes. Sur la scène de l’Air libre, pour la création très observée des Trans Musicales de Rennes, Zaho de Sagazan a opté pour une combinaison-short noire et un blazer unisexe beige qui lui fait les épaules carrées. Il y a plusieurs chanteuses et même plusieurs époques en elle, qui pourtant reste la même. Intense et cohérente artiste dont on retient d’abord la force d’interprétation et la justesse. Assise derrière un piano droit, éclairée par deux spots blancs minimaux, elle convoque l’esprit et l’ambiance des cabarets rive gauche de la fin des années 1950, sur La Déraison. L’instant d’après, sur fond d’envoûtantes lumières bleu nuit, un discret effet de réverb sur sa voix jette un voile sixties sur Je rêve. Puis, accompagnée d’un batteur et d’un clavier le plus souvent appliqués à brancher et débrancher les patchs de synthés modulaires – bel effet de mise en scène : ils clignotent de partout –, voici qu’elle vire lentement mais sûrement électro.