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mercredi, 02 octobre 2019

BB Brunes, Visages

22:38 Publié dans Vidéo | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bb brunes, chanson, rock, musique |  Facebook | |

NICOLAS MORO & NICOLAS JULES : Le fossoyeur (Georges Brassens)

Concert 2019, avec Coline Malice, Philippe Casquel, Hassen Ayeche et Antoine Saliva

L'album de la semaine : Thomas Fersen, C'est tout ce qu'il me reste

Le clip de la semaine : Rachid Taha - Je suis Africain

L'actualité de la chanson française du 20 au 26 septembre

Les artistes de la semaine : Thomas Fersen, Coline Malice,  Nicolas Jules, Rachid Taha, Téophile, BB Brunes

L'album de la semaine : Thomas Fersen, C'est tout ce qu'il me reste

Le clip de la semaine : Rachid Taha - Je suis Africain

BB BRUNES

RFI - BB Brunes, retour aux sources

On se rappelle d’eux à leurs débuts, "bébés rockeurs" encore sous l’influence de The Clash. 12 ans plus tard, les BB Brunes retrouvent leurs premières amours avec un 5e album en forme de retour vers le futur. Dans un café parisien, le chanteur Adrien Gallo et le guitariste Félix Hemmen affichent une trentaine épanouie. Adrien est papa depuis peu, mais il ne sera pas question de bébé – blues - ici, plutôt du disque qu’ils ont enregistré live sous le regard du producteur Samy Osta.

THOMAS FERSEN

Télérama - Thomas Fersen, C'est tout ce qu'il me reste

Ses chansons sont un grenier magique où l’on trouve encore des merveilles : des images de l’enfance et de l’adolescence, un « hi-hah » de cow-boy, « le gros ventre blanc d’une baignoire à pattes », une séance au cinéma Grand Rex où King Kong met la raclée au T-Rex… Et puis, sur presque chaque titre, remplaçant avantageusement le quatuor à cordes de son précédent Coup de queue de vache, il y a cette belle trouvaille : un entêtant banjo. Avec lui, on ne sait jamais dans quelle contrée ni dans quel état d’âme on sera propulsé l’instant d’après. Impression fugace, d’abord, d’être au Far West, farce et tristesse mêlées, comme chez Ennio Morricone.

Mandor - Thomas Fersen : interview pour C'est tout ce qu'il me reste

Faut-il encore présenter Thomas Fersen ? Je ne crois pas non.

26 ans que ce chanteur-poète accompli joue avec les mots et la musique, s’amusant des doubles sens, tout en jonglant avec des rimes et usant de métaphores avec une dextérité toujours aussi déroutante.

Je l’ai interviewé très souvent (je vous invite à lire la mandorisation de 2013 et celle de 2017) avant de déguster celle qu’il m’a accordée le 25 juin dernier dans un café (Sans Nom) de la capitale). Il y évoque sans langue de bois son nouvel album, C’est tout ce qu’il me reste (qui sort le 27 septembre prochain), sa condition d’artiste, l’industrie du disque, la chanson française d’aujourd’hui, son affection pour Jacques Higelin, la chanson engagé et l’art en général.

TEOPHILE

Mandor - Théophile : interview pour son futur premier EP

Nous sommes au début du mois d’août. J’en profite pour vous parler de Théophile. A seulement 26 ans, ce jeune homme originaire d'Angers va beaucoup faire parler de lui à la rentrée. Il a sorti coup sur coup, trois clips, « Face Caché », « Andy » et « Laisse-moi » tiré d'un premier EP (à paraitre cet automne). Sa voix profonde et ses textes ciselés me touchent beaucoup… et je suis certain que je ne vais pas être le seul à apprécier ce nouveau venu dans la pop/chanson française. Naissance d’un futur grand.

COLINE MALICE

Nos Enchanteurs - Coline Malice, une chanson pour améliorer le monde

Vous connaissez Coline Malice, cette belge qui, sans malice, a choisit naguère les collines et volcans d’Auvergne pour y faire son nid. Et y construire ce qui, album après album, s’apparente à une œuvre. C’est son sixième album que voici. Si ce n’est deux d’autrui (l’un de Jean-Louis Pinna, l’autre de Gilles Michel), toutes les chansons sont de Coline. On reconnaît son écriture d’ailleurs, par ses vers drôlement alambiqués, façon originale de placer ses mots, construire ses vers, plus encore quand ils sont sévères.

NICOLAS JULES

Nos Enchanteurs - Nicolas Jules, quand la musique est bonne…

Il le dit de lui-même, Nicolas Jules, et il a bien raison, ce n’est pas de la « chanson qui colle ». Entendre : pas sirupeux, pas guimauve, pas variétoche. A l’écoute de son dernier album, Les Falaises, on abonde complètement dans son sens ; la chanson de Nicolas Jules, ça ne se donne pas comme ça, ce n’est pas de la ritournelle qu’on se mettrait à seriner toute la journée en regrettant d’avoir ouvert la radio. D’abord, parce que Nicolas Jules ne passe pas sur les grandes ondes (et c’est bien dommage, on le regrette pour les auditeurs) et ensuite parce que la chanson de Nicolas Jules, c’est tout le contraire, ça vous décolle bien les esgourdes…

RACHID TAHA

RFI - Rachid Taha, un dernier album avant de partir

Un peu plus d'un an après sa disparition, sort l'ultime album de Rachid Taha, intitulé Je suis africain, réalisé avec Toma Feterman, qui nous raconte l'aventure artistique que ce fut.

Un bandeau gris sur les yeux comme un signe de deuil sur un regard vivant, espiègle, curieux, passionné, furieux, généreux et fraternel à la fois, et cette bouille de mec partout chez lui, de mec pas tout à fait à sa place, de mec qui ne reste pas en place, de libéro qui désarçonne par sa simple présence, ce visage de Rachid Taha annonce Je suis africain, son dernier album, dix titres pensés, conçus et réalisés par Rachid Taha et Toma Feterman, dix titres validés de son vivant par l’artiste qui nous a quittés le 12 septembre 2018, il y a un an déjà.

Télérama - Rachid Taha, Je suis africain

Débordant de niaque, le rockeur mêle guitares western et guembri gnawa sur cet album posthume poignant, où il chante en français, arabe et anglais.

Avouons-le : cet album posthume, né après un voyage au Mali et publié un an après la mort de Rachid Taha, ne nous inspirait pas confiance. La faute notamment au morceau-titre dévoilé cet été, dont le refrain mollasson à l’humanisme bon teint laissait craindre un mordant émoussé. C’était compter sans la niaque naturelle du rockeur, qui revient au galop sur des chansons jubilatoires comme Minouche, Andy Waloo,Striptease ou Like a Dervish. Ironique et ­bluesy sous la cuirasse rock’n’roll, Rachid le marlou africain y convoque les figures de son panthéon, de Khalil Gibran à Bo Diddley, de Nelson Mandela à Jacques Derrida.