Web Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 07 août 2020

La Sieste acoustique : Bastien Lallemant "Berceuse (pour Oskar)"

Le 21 juin dernier, Bastien Lallemant présentait une sieste acoustique à la Maison de la Radio, accompagné de JP Nataf, Albin de la Simone, Babx, le duo Rosemary Standley & Dom La Nena (Birds On a Wire) ✨. Voici un premier extrait, “Berceuse (pour Oskar)”

Nos Enchanteurs - Festival chansons sous les étoiles, Les Jetés de l’encre, croqueurs de mots et de notes

17 juillet 2020, 22h20 Bouc-Bel-Air, esplanade du château.

Sous le ciel enfin piqueté d’étoiles, les musiciens des Jetés de l’encre ont installés leurs instruments : « trois guitares en folie, une  contrebasse qui vrombit dans la nuit, des chansons qui défrisent. » C’est ainsi que se présentent Gilles Maire, auteur-compositeur-interprète, musicien autodidacte, guitariste tendance manouche venu à la chanson par l’écriture, cœur du groupe qu’il a fondé en 2006, et Philippe Schwall à la contrebasse, qui apporte la note « américaine ». Dan Ifergan assure les contre-mélodies et les contre-rythmiques depuis 2018, et le benjamin Ulysse Loviat, aussi virtuose que discret sur scène, apporte depuis 2016 toute sa sensibilité aux musiques du monde. Un groupe à géométrie variable qui a vu se succéder de nombreux musiciens, au violon, aux percussions à la flûte, aux clarinettes et au trombone, et aux guitares bien sûr (salut à Joël Favreau au passage), au cours de 850 concerts en France et en Europe, et  à travers un répertoire de 3 albums. Ils nous apportent leurs « chansons à respirer », exactement ce qu’il nous faut en ce moment.

Lire la suite
____________________
____________________

Noémie Brigant, Mon île en ville

jeudi, 06 août 2020

Souvenir confiné - CONFINEMENT LIVE 1 : SVREMENA NA VREME (de temps en temps)

Chers amis, malgré le confinement et malgré notre dispersion géographique entre Paris et Perpignan, nous sommes heureux de vous faire partager notre première fanfare en télétravail :)
On s'est bien marré à faire cette vidéo, et on espère que ce sera contagieux !

RFI - Un tube, une histoire: «Le Déserteur» de Boris Vian

Le Déserteur de Boris Vian, une chanson antimilitariste devenue l’hymne pacifiste par excellence. Sa sortie en 1954 fut tout sauf paisible. Elle mettra des années avant de connaître le succès et devenir un classique de la chanson française.

Ecouter la suite
________________
________________

Les albums de l'été : Noémie Brigant, Yamal

Le clip de la semaine : Jean-Louis Aubert - Du Bonheur

Clip participatif où tous les amis confinés qui nous regardaient, ont envoyé des petits moments de Bonheur capturés dans l'instant !

mercredi, 05 août 2020

Patrice Mercier - Streams are my reality

Les artistes ont trouvé leur voie : le numérique. C'est la Révolution ! Quel bonheur d'être né à l'époque de tous les possibles possibles.

Noémie Brigant, Aquoibondisme

Ces chansons qui font l'été. "Tes parents" par Vincent Delerm, l'envers des années "Star Academy"

Les tubes de l’été ont parfois un rapport avec l’actualité du moment. Dans sa chronique "Ces chansons qui font l’été", Bertrand Dicale explore donc notre mémoire collective à la recherche de ces rencontres entre l’histoire et la chanson française. Vendredi "Tes parents" de Vincent Delerm qui, en 2002, symbolise le réveil de la chanson française face au triomphe historique de "Star Academy". .

Lire et écouter la suite
___________________
___________________

mardi, 04 août 2020

Noémie Brigant, L'eau a effacé le tableau

Je fabrique des chansons... ça a commencé à cinq ans. Par imitation. Tout se fait par imitation. Alors comme ça, j’ai imité ma sœur. Je trouvais qu’elle avait une belle voix. Elle chantait « un homme heureux » au piano. Moi, ça me rendait triste. Mais pas le triste de l’affaissement, celui qui lave. Je me suis rendu compte de plein de manières que la chanson faisait ces effets. J’ai compris que dans l’émotion y’a un télescopage, genre de commotion qui nous rappelle que ça bouge à l’intérieur. Ce mots «motion», étymologiquement parlant, c’est: «mouvement », d'où ça part « impulsion » et aussi « insurrection, révolte». Mais aussi, je lis: «deux motions sont nécessaires pour une torsion des fils»…je me suis dit qu’une chanson ne survit que si elle peut venir émotionner, s’entortiller à un autre vivant , qu’une chanson toute seule, elle meurt dans une lente agonie du manque de l’Autre et de sa façon de bouger quand on la lui chante .
J’ai continué, une forme d’insistance maladive, comme le pâté trop près de l’eau que l’on refait perpétuellement. La vague défait, je refait, elle défait, j’y retourne, c’est agréable cette obsession des pâtés de plage. Aujourd’hui, je vous partage ce prototype d’impro. Je fais ça dans ma cuisine avec mon looper , parmi les éponges et les plantes vivaces. Des chansons qui sont comme des pâtés. Qui sont faites pour mourir aussitôt dites. Dans les vidéos on voit pas la mer. La prochaine fois je la mettrai. J’ai récupéré une toile bouillonnante de mer en croûte de sel. Je la mettrais derrière...