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jeudi, 12 août 2021

Anne Sylvestre "Il s'appelait Richard" / Discorama 1969

Le meilleur des reprises confinées - Une touche d'optimisme, Hymne à l'amour - Edith Piaf (cover)

mercredi, 11 août 2021

Régine et Denise Glaser Discorama 1969

Le meilleur des reprises confinées : Bobin chante Ferré, Aragon et Elsa

Le meilleur des reprises confinées : Eric Frasiak chantait Le vieux rêve de François Béranger lors de l'un de ses concerts en pointillé en avril 2020

mardi, 10 août 2021

Discorama : la 1ère émission le 04/02/1959 | Archive INA

Discorama : émission du 4 février 1959 | RTF | - Jean DESAILLY présente le pianiste Samson FRANCOIS qui interprète au piano un morceau de Maurice RAVEL.. - Jean DESAILLY présente la chanteuse BARBARA et son disque "Chanteuse de minuit". Barbara chante "La Belle amour". - Jean DESAILLY présente une série de disques consacrée à la lecture de grands poètes par divers artistes. Pierre VANECK dit ensuite un poème de Charles PEGUY "La Présentation de Paris à Notre-Dame". - Sur fond d'images d'Hiroshima en destruction, de bâtiments en ruines, diffusion du disque de Wilhelm KEMPFF interprétant à l'orgue un morceau de Jean Sébastien Bach. - Jean DESAILLY et Yves MONTAND écoutent un extrait de son dernier disque, "La fête à loulou". Yves MONTAND dit sa préférence pour l'enregistrement en public. - Extrait du film "L'Auberge du sixième bonheur" de Mark Robson avec Ingrid BERGMAN, dans lequel les enfants chantent un thème musical dont la version française est : "Marche au pas, marche tout droit...". Pour clore l'émission, la chorale des enfants de Bondy reprend cet air en partie.

Le meilleur des reprises confinées : FRÉDÉRIC BOBIN – QUATRE-VINGTS BEAUX CHEVAUX (Michèle Bernard)

Guitar Songs (sessions voix-guitare de Frédéric Bobin - confinement II) Vidéo #40 12.12.2020 * * *
 
Adolescent, quand je me suis passionné pour la chanson, je passais mes journées à la médiathèque de ma petite ville. Le rayon chanson que je fréquentais assidûment était dirigé par Françoise Tavernier, la sœur d’André Tavernier (chanteur lyonnais que je n’ai pas eu la chance de rencontrer, décédé en 1994). Me voyant écumer les bacs de CD et dévorer chaque numéro de la revue « Chorus », Françoise venait souvent me voir et on échangeait longuement à propos de chanteurs et chanteuses peu médiatisés, domaine qui m’intriguait et m’intéressait beaucoup. C’était une façon peut-être de me distinguer de mes camarades qui écoutaient Marilyn Manson et Nirvana, mais je pense que c’était surtout une envie de prolonger ma connaissance des grands classiques de la chanson et d’assouvir ma soif de découvertes musicales.
Lorsque je fouillais dans les bacs – très bien approvisionnés – de chanson française, j’avais l’impression d’être un chercheur d’or, en quête de la pépite oubliée. A l’aune des conseils de Françoise Tavernier ou de mes lectures dans « Chorus », je cherchais des albums de chanteurs inconnus du grand public et tombait parfois sur des trésors. Je ne sais plus si c’est Françoise Tavernier qui a évoqué la première le nom de Michèle Bernard ou si je l’ai lu pour la première fois dans un article de la revue « Chorus », mais je sentais bien qu’il fallait que je me penche tôt ou tard sur les chansons de cette artiste ! Le premier CD de Michèle Bernard que j’ai emprunté à la médiathèque était « Quand vous me rendrez visite ».
J’ai beaucoup aimé cet album et j’ai été frappé notamment par la beauté foudroyante de la chanson « Les vieux, les enfants » et par la chanson éponyme. Plus tard, quand je suis arrivé à Lyon et que j’ai commencé à fréquenter le milieu chanson, le nom de Michèle Bernard – décidément ! – revenait encore très souvent. J’ai rencontré pas mal d’artistes qui appartenaient en quelque sorte à sa famille artistique : mes camarades Les Zondits avec Hélène Grange, Jean-Baptiste Veujoz, Agnès Bacconnier, mais aussi Clélia Bressat Blum, Sophie Gentils, Lily Luca, Elisabeth Ponsot, Marie Zambon, Claudine Lebègue et un certain Pascal Berne – arrangeur de Michèle – qui a arrangé mon deuxième album en 2004.
Et puis un jour, mon téléphone sonne. Je décroche et la voix à l’autre bout du fil me dit : « Allo, c’est Michèle Bernard ! ». Comme ça. Pascal Berne, l’arrangeur de mon deuxième album, lui avait transmis une de mes chansons (« La vieille ouvrière ») et Michèle me demandait l’autorisation de l’inclure dans un spectacle de polyphonie sur le thème de la mémoire et des usines, dans le cadre du festival « Les Oiseaux rares » avec l’association Musique à l’Usine. Quel honneur pour le jeune chanteur de 25 ans que j’étais alors ! La première « vraie » rencontre avec Michèle s’est passée à A Thou Bout d’Chant, petite salle lyonnaise, un ou deux ans après ce fameux coupe de fil ! Michèle m’y a vu sur scène et à l’issue de mon concert, elle m’a programmé au festival « Les Oiseaux rares » à St Julien Molin Molette en 1ère partie de Loïc Lantoine ! Une de mes premières scènes prestigieuses. Quand on débute, les coups de pouce sont plutôt rares, ce qui les rend d’autant plus précieux. Et je ne remercierai jamais assez Michèle de m’avoir fait confiance, à mes tout débuts, à un moment on a vraiment besoin de coup de pouce… Ensuite, nos chemins se sont souvent croisés, au détour d’invitations à des soirées cartes blanches ou sur des plateaux partagés (souvenir d’un concert à Mably où nous avions repris « Bozo » de Félix Leclerc…). J’ai vu aussi pas mal de fois Michèle sur scène bien sûr, notamment en duo piano/voix avec Jean-Luc Michel. Spectacle d’une classe absolue.
Et, comme pour boucler la boucle, David et Flavie de la revue « Hexagone » nous ont réunis sur scène à l’occasion d’une soirée lyonnaise « Hegaxone » en 2018. Ca se passait à A Thou Bout d’Chant, comme 15 auparavant, mais cette fois, Michèle était à mes côtés sur scène et on a mélangé nos chansons le temps d’un spectacle éphémère… Enfin… « éphémère »… on croyait qu’il le serait… car les retours enthousiastes des personnes présentes ce soir-là ainsi que le plaisir qu’on a pris à mélanger nos voix, nos instruments et nos deux répertoires nous ont donné envie de rejouer ce spectacle quelques fois, sous le nom de « Balades croisées ».
Dur de faire un choix parmi les nombreuses pépites de son répertoire. J’ai choisi « Quatre-vingts beaux chevaux », fascinante chanson qui me fait penser au « Ceci tuera cela » de Victor Hugo dans « Notre Dame de Paris »... Une chanson qui vous traverse comme un éclair… Images fulgurantes. Musique obsédante, bien ancrée dans la terre. Difficile d’en restituer toute la force avec une seule guitare et sans l’intensité de la voix de Michèle… Mais j’ai pris beaucoup de plaisir à la chanter pour vous ce soir !

lundi, 09 août 2021

Le meilleur des reprises confinées : Lise Martin chante Lili Marlene

Chanson d’amour n°79, enregistrée le 29 novembre 2020

« Lili Marlene »

Texte : Hans Leip

Adaptation française : Henri Lemarchand 

Musique : Norbert Shultze

dimanche, 08 août 2021

Le meilleur des reprises confinées : Lise Martin chante Goldman

Chanson d’amour n°58, enregistrée le 8 novembre 2020

« On ira »

Texte et musique: Jean-Jacques Goldman

Discorama : Edith Piaf sur les chansons d'amour (INA, 1961)

Edith PIAF est interviewée par un journaliste sur les "chansons d'amour". Selon elle, il ne peut y avoir de chansons d'amour si l'on n'est pas amoureux et évoque la chanson "Non, je ne regrette rien" composée par Charles DUMONT qui correspond pour elle à un renouvellement, une direction nouvelle.Cette interview d'Edith PIAF aurait dû être diffusée lors de l'émission "Discorama" du 20 janvier 1961.

samedi, 07 août 2021

Discorama - Colette Renard "Les nuits d'une demoiselle" version édulcorée (INA, 1964)

Sur le plateau de l'émission "Discorama", Colette RENARD interprète "Les nuits d'une demoiselle", chanson paillarde à caractère sexuel, dans une version très édulcorée pour la télévision.