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mercredi, 11 avril 2018

Libé - Derniers doux délires pour Jacques Higelin, Par Luc Le Vaillant

Au revoir sifflotant au chanteur surréaliste et facétieux, dont on aurait bien vécu la vie, même en rêve, plutôt que celle de Johnny.

Il est assez étonnant de se souvenir précisément du verbiage parlé d’un chanteur et moins de son phrasé mélodique, même si souvent ils se superposaient. Jacques Higelin avait le timbre de la contre-culture des années 70-80, comme Booba a le flow contemporain du rap couillu, doré sur tranche de cake.

Le grand Jacques avait une gouaille moins canaille qu’underground, un lâché moins parigot de Ménilmuche qu’Apache de contre-allée avec gapette de récup relevée sur un front de frondeur que tout déride.

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08:30 Publié dans | Lien permanent