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jeudi, 21 janvier 2010

Marc Servera - Quatrième de couverture

Une vidéo proposée dans le cadre du Festival de videos musicales organisé sur Facebook par Eric Nadot
Marc Servera est sur My Space et sur le Web

20:55 Publié dans | Lien permanent

Commentaires

"Est-ce que quelque part... ?" Dans le souvenir des hommes, une "Terre de mômes".

Le Verbe ayant signé son passage sur Terre d'une Croix, ici l'envol, à mots et à chants, labourant d'une plume discrète et insigne.
Tant qu'il y aura des hommes à tire d'ailes et des albums comme son cinquième, je dis qu'elle est pas loin, la terre promise.

Écrit par : CC | mardi, 26 janvier 2010

simplement incontournable

Écrit par : claudine | mardi, 26 janvier 2010

Faut-il être convaincu pour rendre au plus juste le spirituel comme certains sculpteurs ou peintres y sont parvenus ? Doit-on vivre comme complices pour oeuvrer comme un seul, comme amis pour se bien comprendre ?

Quoi qu'il en soit, rien ni personne ne touche profondément à la beauté, ne s'en saisit d'une manière aussi intime qu'en ce film sans bénéficier d'une inspiration puis d'une éloquence qui dépassent l'entendement humain.

L'idée de l'art façon J-C Desruelles se fond ici avec l'esprit du justement sensible de M Servera pour un plaisir qui enveloppe plus que moins et tout entier l'homme en âme.

Bravo Eric Nadot pour ce festival de videos musicales.
A n'en pas douter, il devait être, ne serait-ce que pour celle-ci.

Bonne suite.

Écrit par : Camille | mercredi, 10 février 2010

Le mot incite l'image, les deux exigent une hygiène d'écoute.
Une video pareille c'est passer le seuil du simple talent, c'est aimer et demeurer.
Nous commentions ma fille et moi, concluant qu'avant la naissance devrait nous être proposé de choisir entre avoir quatre ans à vie ou naître déjà vieux, déjà sage.
"Quatrième de couverture" se préoccupe de cerner nos racines et débrouiller leurs pistes.
C'est très beau.

J-C et L

Écrit par : Jean-Christophe | jeudi, 11 mars 2010

La mort réveille.

Des géants tombent - la relève, à qui est attentif, existe, assurée malgré le sol qui tremble.

L’ombre jetée par le sort de certain départ se doit p’t’être le buvard d’une mise en lumière :

Des voix ancrent sans écumer, sans baver leur sel.
Des plumes que je connais n’attendirent pas que l’encrier verse.
Des personnalités nettement dessinées méritent un coup de fusain.
Des talents, rares mais avérés, sont à la discrétion d’écoute de notre instinct d’artisans collecteurs.
Il en va de notre devoir de mémoire.

L’authenticité n’est pas d’une nature morte.
Qu’attend la réalité pour entrer en scène ? Sa quatrième de couverture.

Écrit par : onemorelive | mercredi, 17 mars 2010