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lundi, 24 juillet 2006

L'actualité de la Chanson Française du 24 juillet

CAMILLE

TV5 Du 18 au 28 juillet jouez avec Camille et gagnez un album (Rediffusion).

TV5 : Camille

The Independent - Camille, Scala, London - Parisian purr creates a buzz
In the beginning was the note, and the note was B. A quiet, soft, sustained B, humming away in the background for a good 20 minutes before Camille and her two band members took to the stage.
This same note begins her album, Le Fil (the thread), continues through all of its songs (it's the thread that links them), and then lasts for half an hour after the last song has faded - or until you can be bothered to put something else on the CD-player. This playful artiness in many ways sums up France's favourite new pop star, as anyone who saw her debut UK show at the Jazz Café in May will testify.... So, forget superficial comparisons to Björk, Lene Lovich or Kate Bush. Camille deserves better. She is by turns surprising, amusing and moving - what more could you want from a pop star?

VIEILLES CHARRUES

NOUVELOBS.COM | 24.07.06 | 09:05 - "Vieilles Charrues" : la piste criminelle a été écartée
Une femme de 43 ans avait été retrouvée morte dimanche sous une tente dans l'enceinte du festival, le visage tuméfié. Une autoposie est prévue lundi.

Ouest-France - Vieilles Charrues : pari gagné, festival extra
Le pari fixé par les organisateurs du festival carhaisien est gagné : le cap des 200 000 franchi.
« Nous avons le sentiment unanime d'avoir passé un festival extraordinaire. Il y a eu cette année quelque chose de particulier. » Yann Rivoal, le directeur des Vieilles Charrues, s'est fait hier soir le porte-parole des organisateurs pour dire que l'on avait vécu cette année « une grande édition. » Satisfaction aussi chez le président Jean-Philippe Quignon : « J'ai senti un esprit différent de l'an dernier. Même si personnellement j'avais trouvé l'édition 2005 très bien. J'ai l'impression que tout le monde avait envie de vivre ce truc assez incroyable avec nous. Tous les témoignages qui nous sont parvenus prouvent que nous avons vécu une édition extraordinaire. Dans le sens où elle sortait de l'ordinaire. »

Ouest-France - Les artistes bluffés par le public des Charrues
Près de 220 000 personnes en quatre jours. Aux Vieilles Charrues à Carhaix (Finistère), les chanteurs et groupes se frottent au choc de la marée humaine mais surtout à l'écoute d'un public cool et joueur.
« Tu fais la balance (les réglages du son) le matin, cet immense champ est vide. Tu montes sur scène à 14 h, il y a du monde jusqu'au fond. On vient de faire le Paléo (en Suisse) et Montréal. Mais là, c'est vraiment énorme. » Da Silva vient de sortir de scène, dimanche après-midi. Le Neversois qui s'est installé à Dinan a tenu les Vieilles Charrues avec un groupe sans batterie : « On a juste des guitares, des mandolines, un violon et un clavier, mais ça a répondu super présent. C'était incroyable. » Même pour un tout nouveau morceau, La peau neuve, que cet auteur-compositeur dans la lignée de Cali et Miossec a juré d'inclure sur son prochain album si le public accrochait. Le titre sera bien sur le disque

Le Télégramme - Une édition collector, l’an prochain...
Avec une programmation grand format sur quatre jours, avec une météo nettement plus conciliante que celle qui avait perturbé l’édition 2005, avec des festivaliers encore dans l’élan de la Coupe du monde de foot, cette XV e édition avait tout de la réussite quasi-intégrale. Elle aura malheureusement été endeuillée, le dernier jour, par un drame qui a fait planer l’ombre de Carnoët et sérieusement perturbé la vie du festival (voir en dernière page). Au fil de la journée, les premières inquiétudes se sont éloignées pour laisser la place, très vraisemblablement, à une hypothèse ne relevant plus de la thèse criminelle. Les organisateurs, hier soir, étaient nettement moins tendus qu’au cours d’une éprouvante matinée de perturbations sur le site.

Le Télégramme - Olivia Ruiz. Ensorcelleuse
On avait croisé Olivia Ruiz, il y a quatre ans, en touriste dans les coulisses du festival. La belle n’était alors qu’une ex-star academycienne. Pour être franc, on regardait alors le spectacle des midinettes réclamant des autographes avec un sourire un brin condescendant. Changement de musique aujourd’hui. En deux albums, Olivia Ruiz a forcé le respect de la critique autant que du public et fait ravaler leurs sourires aux moqueurs.

Le Télégramme - Julien Clerc. Enchanteur
Paisible moment de tendre nostalgie, hier après-midi, à l’écoute du répertoire velouté de Julien Clerc. Jalonné de titres ayant largement contribué à maintenir le taux de natalité du pays, ce charmant récital à l’heure du thé fut d’une agréable douceur, baignée de vagues de mélancolie.
« Si on chantait », suggère Julien dès son deuxième titre. Proposition guère nécessaire : avant même l’entrée sur la scène Glenmor de l’artiste à la gueule d’ange inaltérée, chacun, justement, n’attend que ça. Chanter. Et pour chanter... ça va chanter : « Elle voulait qu’on l’appelle Venise », « Danse s’y », « Femmes, je vous aime », « Ma préférence »... Une grande majorité de refrains romantiques dont l’efficacité sur la partie féminine de l’assistance n’est plus à démontrer.

EN SUISSE

La Tribune de Genève - L’insolente routine du succès
225 000 spectateurs ont bravé la canicule pour faire la fête aux étoiles.
«Un grand millésime.» C'est un connaisseur qui parle....
Sur la Grande Scène, Cali, Benabar et Raphaël ont fait «plaine» pleine. Chacun avec une sensibilité et un style différents. Cali dans la fausse simplicité, Benabar dans la tranche de vie ironique et Raphaël dans la mélancolie partagée. N'oublions pas Arthur H. qui, samedi sous le Chapiteau, a livré un concert tout en subtilités. Le gaillard sait en outre s'entourer d'excellents musiciens, sertisseurs idéals de ses bijoux poétiques.

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