Lise Cabaret, La vie est belle il faudra qu'on s'y fasse

Annie Claire - Lise Cabaret « La vie est belle, il faudra qu’on s’y fasse »

Encore sous le charme de la jolie fête de sortie du troisième album de Lise Cabaret, « La vie est belle, il faudra qu’on s’y fasse« , sous le label La belle enragée, le 16 avril dernier à l’Auguste Théâtre, je rédige ces quelques lignes pour ne pas en perdre une miette d’émotion. La fête fut si belle, les invités prestigieux et l’ambiance dans la salle, communicative. Nul doute, notre artiste préférée est passée au stade supérieur. Sa musique est de plus en plus intense, ses textes sont déchirants et sentent le vécu, ses rythmes sont  endiablés. Bref, Lise Cabaret a gardé son naturel sensible, énergique et convaincu et a monté en puissance dans son expression, l’intensité rock qui est sa marque de fabrique (lire mes précédents articles ici).

 

Nicolas Réal, Saint Martin

Annie Claire : Nicolas Réal « Saint Romain »

Le printemps apporte son lot de nouvelles pousses, ce jour, je parle du second album de Nicolas Réal, « Saint Romain », un élégant opus de treize titres bien écrits et composés avec l’adresse de la chanson qui passe à la radio et dont la mélodie se retient facilement. Le CD vient de sortir, il est très coloré, très pop, très frais. Le jeune chanteur n’a plus vingt ans, et il est très nostalgique de ses souvenirs d’enfance qui prennent, dans ces chansons, les couleurs de la candeur de l’époque. Voici le clip de Pandy Box qui circule bien sur les réseaux.

Liz Van Deuq - QVEL (quand vous êtes là)

11 mai 2024

Liz Van Deuq - QVEL (quand vous êtes là) Filmée au Petit-Ivry Cabaret, à Ivry sur Seine, le 10 mai 2024.

Nos Enchanteurs - Henri Gougaud, 1936-2024

Un poète de plus s’en est allé, sur la pointe de la plume. Le 11 mars dernier, sur sa page facebook, il s’adressait à celles et ceux qui, chaque jour, le suivaient dans ses publications toujours aussi poétiques : « Chers amis, Les temps sont venus où nos routes vont se séparer, je vais désormais emprunter les chemins de l’intime au gré de l’amour de mes tout proches. Je me laisse découvrir chaque matin l’imprévisible, qu’il m’emporte encore plus loin vers le désir et la force de dire oui, de dire non, de rire au ciel, d’écouter la tendresse. Si vous voulez me retrouver, feuilletez les pages des livres que j’ai écrits, fredonnez les ritournelles que j’ai chantées, j’y serai tel que vous m’avez connu. Comme je ne me suis réclamé de personne, ne vous réclamez pas de moi. J’ai eu pour ambition secrète que mes mots vous délestent des maîtres et chapelles qui vous empèsent les rêves. »

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Gribouille ~ J'aimerais ( Henri Gougaud / Gribouille )