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samedi, 05 août 2017

Claude Févre - Barjac m’en Chante 2017 – Chansons et plus… si affinités

Aujourd’hui on partage la rencontre entre Monsieur Roux, l’aîné et Boule, à moins que ce ne soit avec Boule et Monsieur Roux… Ils s’échangent leurs chansons, ils s’accompagnent réciproquement. Ils ont des univers qui agitent les conventions, les normes, les codes. La parole de Monsieur Roux ne fait pas dans la dentelle, il s’en prend à  tout ce qui enferme, isole… Il pourfend l’idée de drapeau, de nation, «  Y a pas de pays pour ceux qui n’en veulent pas », il s’attaque au machisme, à l’instinct de domination des hommes pires que des chiens, au « vote utile » guidé par la peur, aux stupides, aux sots, aux  complotistes…  Est-ce différent aujourd’hui qu’il y a dix ans, quand Monsieur Roux atteignait un large public en chantant le sort du « bouffon de la cité, le souffre douleur du quartier » ? En n’hésitant pas à semer dans ses chansons un vocabulaire de la rue, de la cour de récré… ?   Ces « gros mots », c’était un peu sa marque de fabrique à l’époque et la jeunesse aimait ça. Nous avons pu voir ailleurs qu’elle venait encore, nombreuse, avec sa décennie de plus,  chanter les refrains de Monsieur Roux. Ici cette jeunesse là est absente… Dommage vraiment !

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19:13 Publié dans | Lien permanent