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« Yoanna à la Belle electrique (25 fev 2016) | Page d'accueil | Le concert de la fin de semaine - Monte le son : les sessions spécial "Gainsbourg / Bashung" »

samedi, 28 janvier 2017

L'actualité de la chanson française du 20 au 26 janvier

Le clip de la fin de semaine : Fishbach - Béton mouillé

Le concert de la fin de semaine - Monte le son : les sessions spécial "Gainsbourg / Bashung"

Les vidéos de la fin de semaine : Fischbach

Le concert du dimanche : Le pont des artistes #11 - VINCENT DELERM/MAISSIAT/TIM DUP

FISHBACH
 
 
Elle a tendance à s’emballer, la presse musicale. A crier au génie pour un oui ou pour un non, emportée dans une course folle à la nouveauté. Mais combien de prétendus prodiges se sont déballonnés ? La dernière sensation s’appelle Fishbach, jeune femme de 25 ans qui s’est choisi pour nom de scène le patronyme familial à une lettre près (comme le fit Bas[c]hung). Elle voit à son tour s’abattre sur elle une pluie de dithyrambes à l’occasion de la sortie de son premier album. Pour une fois, ce n’est pas exagéré ; depuis un moment, on guette son couronnement.

MOKAIESH

C'est déjà ça - Mokaiesh : « un peu de vérité là où tout semble gesticuler »

Après deux albums solo au lyrisme parfois décrié, Cyril Mokaiesh revient avec « Clôture », parfait équilibre entre engagement et sentiments. Entretien avec un jeune homme au vibrant désenchantement

Le premier a été étiqueté « politique » parce qu’une chanson s’intitulait « Communiste ». Le deuxième  a été taxé de « romantisme tonitruant » parce qu’une amoureuse y rôdait avec insistance. Depuis le début dans la chanson de cet ancien champion de France junior de tennis, on suit Cyril Mokaiesh avec grand intérêt, belle admiration  devant un lyrisme assumé au profit de mots puissants. Avec indulgence confiante devant  une conjonction de la voix, des notes et des textes poussés à bloc.

Hexagone - Cyril Mokaiesh, photographie d’une époque

Clôture, le nouvel album de Cyril Mokaiesh vient juste de paraitre. Un album riche et profond, l’oeil de son auteur bien vissé sur les comportements d’une société bancale. Mokaiesh en fin observateur, définitivement doué d’une écriture sensible et précise, donne à voir et à entendre de son époque. Musicalement intense et moderne, cet album fait partie des incontournables de ce début d’année. 

FRANK THOMAS

Baptiste Vignol - Les mots se meurent dans l'écouteur

Que ça s'arrête! Après Robert Nyel le 26 novembre, Pierre Barouh le 28 décembre, Frank Thomas vient de se faire la malle, hier, 20 janvier 2017. Frank et Pierre, qui ne s'étaient pas vus depuis vingt ans, s'étaient d'ailleurs retrouvés le 14 novembre dernier dans une petite librairie parisienne à l'occasion de la parution d'un recueil d'entretiens avec quinze paroliers, «Les Tubes, ça s'écrivait comme ça», dans lequel ils apparaissent longuement, tout comme Robert d'ailleurs, l'un des proches de Thomas… Putain de recueil finalement puisque sur quinze, en voilà déjà trois de partis. Et ça commence à bien faire.

JULES ET LE VILAIN ORCHESTRA

Nos Enchanteurs - Ces dames ont toutes leur Jules

..... Sept titres, sept portraits au féminin taillés à la serpe ou brossés au pinceau, avec une précision assez remarquable. Sept titres car ce n’est somme toute qu’un « EP » : qu’en aurait-il été d’un album, un vrai, avec ses douze ou quatorze titres, avec d’autres dames, autres profils, autres tronches, autres cas de figures ?

GARNER

Hexagone - Garner, électro sensibilité.

Après son album Bas les armes, sorti en 2015, Arnaud Garnier – alias Garner – revient avec le très bel EP En plein coeur. Il y assume une orientation électro qui s’est imposée progressivement et qui vient parfaitement habiller  ses textes. 

 

00:05 Publié dans | Lien permanent