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mardi, 17 mars 2009

L'actualité de la Chanson Française, le 17 mars



BASHUNG

Télérama - Bashung, le rock pour vivre vite
Jusqu’au bout, Alain Bashung aura tout fait pour déjouer la mort, titubant mais debout sur scène, plus grandiose et bouleversant que jamais. Jusqu’aux Victoires de la musique, il y a quelques jours, où il chantait “Un jour, je parlerai moins, jusqu’au jour où je ne parlerai plus”. Ce jour est venu. Laurent Rigoulet lui rend hommage en racontant quelques-unes de ses vies. Il y a des jours comme ça où il est impossible de ne pas utiliser le mot “bouleversant”.

L'Humanité, Victor Hache - Alain Bashung. Fin d’un magnifique donneur de rêves
Portrait . Le chanteur Alain Bashung est mort, samedi, d’un cancer du poumon. Il laisse derrière lui une oeuvre sombre et lumineuse, profondément sensible et emplie de mélancolie rock.
Il était au sommet de son art. La mort l’a fauché en plein vol. Un cancer du poumon a emporté Alain Bashung, qui s’est éteint samedi dernier, à l’âge de soixante et un ans, à l’hôpital Saint-Joseph à Paris. Il se savait rongé par le crabe depuis l’automne 2007 et suivait, depuis, un lourd traitement par chimiothérapie qui l’avait contraint récemment à annuler une série de concerts.

LE MONDE, Bruno Lesprit | 16.03.09 | Alain Bashung, sur les cimes de la chanson française
Sa place dans la chanson française ? Sur les cimes, accidentées et vertigineuses. Aux "trois B" (Brassens, Brel, Barbara) essentiels, il convient d'ajouter celui de Bashung depuis les années 1990, décennie où il aura régné sans partage en réconciliant la chanson d'ici avec la culture rock la plus pure et dure : l'Amérique idéalisée des années 1950, puis la new wave désillusionnée des années 1970-1980. Bashung a prouvé que l'on peut être un rocker français sans ridicule. Il est mort le 14 mars, à 61 ans, d'un cancer du poumon.

Le Figaro - Alain Bashung, l'astre noir de la chanson, Olivier Nuc
«Gaby, Oh Gaby, tu devrais pas m'laisser la nuit.» C'est avec ce refrain énigmatique que le grand public a découvert Alain Bashung en 1980. Multidiffusé à la radio, ce 45-tours - vendu à plus d'un million d'exemplaires - a lancé la carrière d'un des plus grands chanteurs de sa génération. Pourtant, son parcours avait commencé près de quinze années auparavant. C'est en effet en 1966 que l'artiste a publié son premier enregistrement, Pourquoi rêvez-vous des États-Unis ?

Les Inrocks - Bashung est mort
Alain Bashung est mort samedi 14 mars dans l'après-midi, à l'âge de 61 ans. Voici la dernière interview qu'il avait accordée aux Inrockuptibles, en juin dernier, juste avant de faire escale à l'Olympia.

OLIVIA RUIZ

Pure People - Olivia Ruiz : après Miss Météores, elle embarque pour Planète Nougaro !
Le mois dernier, Olivia Ruiz revenait dans les bacs nous offrir un nouvel album au thème étoilé, prenant cette fois, après La Femme Chocolat, le personnage de Miss Météores...
C'est encore dans un autre univers que la délicieuse Olivia nous entraînera les 2 et 3 juin prochain, à l'occasion d'un spectacle en hommage à Claude Nougaro, baptisé Planète Nougaro.

JEAN-LOUP DABADIE

Réponse de M. Frédéric Vitoux au discours de M. Jean-Loup Dabadie, le jeudi 12 mars 2009 (extrait)
... Quel travail que celui de librettiste ou de parolier ! Meilhac confessait : « Il n’y a pas une phrase qui n’ait été écrite et souvent hélas ! dix fois, vingt fois par moi. » La correspondance d’Offenbach avec ses auteurs témoigne de la précision harcelante du compositeur dans ses demandes.
Avez-vous subi de telles contraintes ou de telles directives de la part de vos interprètes ? De Serge Reggiani qui, le premier, vous a poussé dans cette carrière de parolier et à qui vous avez offert en retour l’inoubliable Petit Garçon ? De Barbara et de Jacques Dutronc ? De Juliette Gréco et d’Yves Montand ? De Michel Sardou (je pense à Tous les bateaux s’envolent et au Chanteur de Jazz) et de Sylvie Vartan ? De Robert Charlebois et de Nana Mouskouri, ou encore de Julien Clerc, pour qui vous avez écrit, à mon sens, les plus belles de vos – et de ses – chansons, de Ma Préférence à Femmes, je vous aime en passant, si j’ose dire, par Les Oiseaux dans les arbres et L’Assassin assassiné ? Une chose est sûre : vous n’êtes pas de ces paroliers qui écrivent dans leur coin, à charge ensuite pour le compositeur-interprète de plaquer dessus sa propre mélodie. Le résultat, dans ce cas, est souvent décevant. On connaît l’avertissement désolé et catégorique de Victor Hugo : « Défense de déposer de la musique le long de mes vers ! » Votre démarche, j’insiste, est le plus souvent inverse. Vous faites surgir des mots et des images, semblables à des apparitions, hors de la nébuleuse musicale ou mélodique qui les justifie ou les prédestinait.
Votre œuvre d’auteur de chansons, qui a commencé dès la fin des années 1960, est impressionnante. Elle se poursuit encore aujourd’hui. J’ai cité quelques-uns de vos interprètes. On m’a confié que certains d’entre eux avaient pu paraître parfois circonspects, à la première lecture des paroles que vous leur proposiez. Mais c’était avant de les chanter, précisément, avant qu’elles ne s’allègent et ne s’ensorcellent, avant que leurs silences comblés, dans tous les sens du terme, par la musique, ne trouvent ainsi leur pleine éloquence. « C’est quand on les a en bouche qu’on se rend compte de leur force » souligne précisément Julien Clerc à propos de vos textes, lui qui aime dire encore de vous : « Jean-Loup Dabadie, il n’est pas musicien mais il est musical. »
Franchement, qui songerait à déguster, dans le recueillement d’une bibliothèque, les couplets de Meilhac et Halévy alors qu’ils sont inoubliables, diableries offenbachiennes à l’appui ? La belle et sensible mélancolie de vos chansons est certes d’une autre qualité poétique et c’est à bon droit qu’elles ont été rassemblées en volume. Reste qu’elles sont d’abord faites pour la musique. Impossible d’imaginer cet air célébrissime, ce standard comme on dit dans la profession, de On ira tous au paradis sans Michel Polnareff. Et Maintenant je sais se confond avec la voix, avec le grain de la voix du grand Jean Gabin…
La voix !

LA CHANSON DU DIMANCHE

Ouest-France - La Chanson du dimanche à la sauce bretonne VIDEO EXCLUSIVE
Les deux trublions du groupe La chanson du Dimanche, Alec et Clément ont enregistré, en exclusivité pour ouest-france.fr, une version en breton de leur plus grand tube?: super-pouvoir d’achat.

INDOCHINE

France Info, la chronique de Marion Bernard - Indochine "la République des Météores"
Le groupe Indochine sort son 11e album studio, " La République des Météores" avec Nicolas Sirkis en seul rescapé de la formation initiale. Sur fond de lettres de soldats écrites durant la Grande Guerre, Nicolas Sirkis explore une nouvelle fois le thème des générations sacrifiées et de la jeunesse volée.

LES VIDEOS DU JOUR

Street Reporters : Luciole, l'interview

Didier Wampas se prend pour Claude Francois

LE CLIP DE LA SEMAINE

Vincent Delerm chante Un temps pour tout, un clip de Toben Seymour

UNE CHANSON CETTE SEMAINE

Régine et Jane Birkin chantent Les p'tits papiers

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BIEN RECU

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Toujours en ligne
Au clair de la lune de Marjorie Risacher avec Merlot
Chanson Boum : Hélène Hazéra avec Brigitte Fontaine et Richard Desjardins
Salvatore Adamo avec Yves Calvi dans les archives de Nonobstant
Système disque l'émission de Valli sur France Inter
A nous de jouer sur France Musique
Le Pont des artistes d'Isabelle Dhordain, Julien Clerc - Cristina Branco - Sophie Hunger
Musicalement vôtre
de Pascal Pareti

On connaît la musique de Thierry Lecamp sur Europe 1
Ma liste préférée l'émission d'Eric Jean-Jean sur RTL
Acoustic/TV5 Christophe
Sous les étoiles exactement de Serge Levaillant sur France Inter
La prochaine fois je vous le chanterai de Philippe Meyer sur France Inter
La chanson française dans ma radio yahoo et sur My Space, MyTaratata

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