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mercredi, 26 avril 2006

En bref, le 26 avril

BOURGES

Aujourd'hui : Raphaël, Yann Tiersen, ....Melissa Mars - Mauss - Iron et Wine - Calexico - Warehouse 99 Project - Wolf Eyes - 54 Nude Honeys - Rhesus - Bikini Machine joue Dutronc - Skin - Fredo chante Renaud - Les Ogres de Barback

L'Internaute, Bourges : 30 ans de découvertes musicales - Du 26 avril au 1er mai 2006 aura lieu l'un des festivals les plus influents de la musique en France : le Printemps de Bourges. Pour sa 30ème édition, cette rencontre musicale accueillera une fois de plus les principaux artistes, confirmés et débutants, de la scène française et internationale actuelle.
et en photos ... 19 artistes en images

Libé - Bourges : Les trente glorieuses - Le Printemps, festival créé par Daniel Colling, continue d'aller de l'avant et rend cette année hommage aux figures cultes Gainsbourg et Ferré. par Ludovic PERRIN
Printemps de Bourges du 26 avril au 1er mai.
Rens. : www.printemps-bourges.com
Vingt-neuf ans après sa création, le Printemps de Bourges a rempli sa mission. Ses premières fiertés «alternatives» servent de référence à une chanson ne se reconnaissant toujours pas dans les grand-messes variété à la télévision. Certains fêteront la trentième édition d'un festival vétéran ; d'autres se verront chantés par la nouvelle génération.
Le Figaro - Le Printemps de Bourges, les atouts d'un modèle artistique à la française - L'analyse de Bertrand Dicale - Demain commence le 30e Printemps de Bourges. Le caractère symbolique d'un tel chiffre dépasse le Printemps, même si la pertinence de sa programmation en fait le plus important festival français dans le domaine des musiques actuelles. En effet, le foisonnement des festivals de musiques actuelles s'est construit sur un modèle né à Bourges en 1977, avec l'application à la chanson française d'une formule alors en usage dans quelques festivals de théâtre ou de musique classique
AP - Le Printemps de Bourges, des hauts et des bas - Des instants magiques, des moments durs: la route n'a pas toujours été des plus tranquilles pour le Printemps de Bourges. Retour sur les grandes étapes, à l'occasion de sa 30e édition. A l'heure de la variété "à paillettes", le festival naît en 1977 à Bourges, avec une offre d'artistes "différents, peut-être plus revendicatifs, plus contestataires", se souvient son fondateur et directeur Daniel Colling, interrogé mardi par l'Associated Press.
La Nouvelle République, le 25 avril - Demain, le Printemps de Bourges souffle ses trente bougies - Sortez les bougies, présentez vos coupettes, le Printemps de Bourges a trente ans. Le festival né pour donner une place à ceux qui ne passaient ni à la radio ni à la télévision, continue de défricher. Jacques Prévert meurt le 11 avril 1977. Au lendemain de la fin du premier Printemps de la chanson, qui venait de voir le jour à Bourges. « On voulait commencer une histoire », se souvient Daniel Colling, patron du Printemps depuis le premier instant.
La Nouvelle République - Joseph d'Anvers - Le bel album du chef opérateur
La Nouvelle République - 30e ANNIVERSAIRE - Des souvenirs mais à l'automne
La Nouvelle République -
Elle revient - Anaïs, chanteuse acidulée voire acide

RADIO

Aujourd'hui, Eclectik avec Dick Annegarn, toute la journée sur le site de l'émission et en direct à 9h10
France Inter - 41 spectacles, 150 artistes, 6 jours de musique. France Inter est partenaire de la 30ème édition du printemps de Bourges - Le Printemps sur France Inter
Le fou du roi de Stéphane Bern en direct du Théâtre Jacques Coeur, de 11h à 12h45
- Mercredi 26 avril avec Akhenaton
- Jeudi 27 avril avec Saïan Supa Crew
- Vendredi 28 avril avec Mickey 3D

EN PUBLIC

Le Pont des Artistes - Enregistrement de l'émission tous les mercredis de 19h à 20h30, au studio Charles Trenet. Se présenter à 17h30 dans le grand hall de la maison de Radio France.Entrée libre sans réservation, dans la limite des places disponibles .

Cette semaine : Dominique A, BabX, Claire Diterzi

LE QUEBEC A PARIS

Débuts convaincants pour Pierre Lapointe à Paris
Michel Dolbec, Presse Canadienne, Paris - S'éloignant brièvement du Québec, Pierre Lapointe vient de faire à Paris des débuts en forme de «happening» triomphal. Entouré de ses quatre remarquables musiciens, le jeune homme a présenté deux soirs de suite «La Forêt des mal aimés» (les décors en moins) au Café de la danse, une salle de 300 places près de la Bastille.
RFI - Pierre Lapointe, chantre du spleen - Superbes mélodies du malheur au Café de la Danse - C’est peu de dire que Pierre Lapointe, jeune chanteur québécois, est encensé outre-Atlantique. La coqueluche de la critique et du public de la Belle-Province présente son deuxième album, La Forêt des mal-aimés, sous la forme d’un spectacle mélancolique et sombre. Dans le cadre du festival Francofffonies, il joue pour la première fois à Paris, deux soirs d’affilée, au Café de la danse.

LIBE

Musiqualité par Marie Charrel - Libé Fait Sa Chanson - Libé sort un hors-série chanson française - Plus de 30 ans que Libération scrute, découvre, soutient ou descend des dizaines d’artistes de la scène française. Pour l’occasion, le quotidien sort un hors-série spécial chanson rassemblant ses meilleures interviews, reportages et portraits. Le tout accompagné d’un 12 titres où se croisent Boogaerts, Manset, Kisling et Higelin.
Libé - par Ludovic PERRIN - Les années Saravah - Pour les quarante ans du label indépendant qui révéla Higelin et Brigitte Fontaine, Pierre Barouh, son fondateur, revient sur cette aventure contestataire. Longtemps, cela se trouvait en face d'un bistrot. Entre un tripier et un boulanger, Saravah donnait sur la rue comme n'importe quelle boutique des Abbesses. Toujours dans ce quartier, au pied de la butte Montmartre, le studio était, lui, dans la cour. Brigitte Fontaine, Jacques Higelin, Areski Belkacem, Jean-Roger Caussimon, David McNeil, Nana Vasconcelos, Pierre Akendengue, Baden Powell ou The Art Ensemble of Chicago y ont enregistré un certain parfum d'époque.
La Cave Saravah vol. 1, 1966-1980 compilation (Saravah)

LE FIGARO

Bertrand Dicale, Erik Marchand, d'Ouest en Est et retour - Dans «Unu, daou, tri, chtar», le chanteur breton mêle terroir celtique, musiques des Balkans... et Jacques Brel. On reconnaît immédiatement la mélodie dans le violon âpre et déchirant de Jacky Molard. Puis monte la voix, tout autant minérale que pétrie d'humanité, dans les syllabes anguleuses de la langue bretonne. A la fin du dernier couplet, un mot familier : «Perak'n'-int diskaret Jaurès». Oui, «pourquoi ont-ils tué Jaurès». Erik Marchand porte au breton une des chansons les plus bouleversantes de Jacques Brel, avec son tableau d'une humanité au dos courbé, à la vie soumise, à l'âme désailée. Presque trente ans après la création de la chanson, un siècle après le temps qu'elle évoque, il ne chante pas Jaurès innocemment : «Comme je le dis souvent, j'ai tendance à faire de la musique pour mes voisins à Poullaouen : autour de moi, des vieilles personnes très attachées au souvenir de Jaurès tendent à disparaître.»

05:50 Lien permanent