Crapauds et Rossignols : C’est drôle, la mémoire

La réédition de l’intégrale des enregistrements studio et en public de Nino Ferrer, une somme sur laquelle nous reviendrons plus tard (écouter quatorze CD, ça demande du temps) ne saurait aller sans son corollaire obligé. Comme on pouvait s’y attendre, on lit ici ou là (plutôt là, d’ailleurs, vu qu’ici je m’apprête à soutenir le contraire) qu’il est dommage que la mémoire collective ne retienne, entre deux cents et quelques titres, que deux classiques (Le Sud et La Maison près de la fontaine) et une poignée de pochades « néo-yéyé ». Voire.

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